forum fermé mais toujours ouvert pour ceux qui veulent lire. merci pour cette aventure, merci pour vous, merci pour votre imaginaire et pour tout ce que vous nous avez donné.
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| | dithyrambique. (lou) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: dithyrambique. (lou) Lun 2 Juil - 12:17 | |
| birds lou nom → birds. les oiseaux naissent au creux de ses lèvres aux saveurs d'une cerise chimique. birds. les oiseaux meurent au creux de son cœur. birds. les oiseaux s'envolent pour échapper à la tornade lou, à la tempête lou, à l'ouragan lou. birds. les oiseaux qui chantent, les oiseaux qui mentent. birds. les oiseaux qui se battent, qui piaillent. prénom → lou. trois petites lettres qui créent un ensemble tout doux. lou, ça rime avec plein de beaux mots. lou aux cheveux courts, lou au regard de braise, vierge effarouchée. lou qui papillonne des cils, lou qui se pavane dans des bas résilles, lou qui s'amuse des regards qui dardent ses courbes efféminées. lou, c'est un prénom qu'on susurre entre deux soupirs d'extase, entre deux soupirs de plaisir. âge → vingt-cinq printemps, vingt-cinq cigarettes trop longues pendues à ses lèvres trop pleines. vingt-six clins d'œil, vingt-cinq sucettes amères perdues contre sa langue, vingt-cinq amours oubliés. date et lieu de naissance → née un douze juillet dix-neuf cent quarante-et-un, dans un hôpital moderne - du moins l'essayait-il - de madrid. le soleil échauffé et agacé de l'espagne dardant ses rayons meurtriers sur les fenêtres trop fines pour les empêcher de passer ; grosses chaleurs qui ont forcé les infirmiers et les médecins à s'armer de courage et à ouvrir toutes les fenêtres possibles pour avoir un peu d'air frais et ne pas être témoins d'une combustion spontanée. métier → les prunelles passent et repassent sous les lignes qui scarifient le papier. secrétaire, elle est davantage un couteau-suisse au service de miguel vargas qu'une vulgaire poupée bonne à simplement accueillir quelques curieux et répondre au téléphone. bras-droit, critique à ses heures, elle a l'oeil affûté et le contact facile. l'idée passe et repasse dans sa caboche juvénile qu'un jour, elle aussi pourrait devenir journaliste. ou critique. ou quelque chose d'artistiquement littéraire. en attendant, les relations s'additionnent et les petits papiers sont savamment gardés dans un tiroir secret. situation maritale→ les opales s'attardent sur son minois juvénile, établissent un jugement puéril ; elle a atteint le quart de siècles et encore personne n'a daigné lui offrir un amour de longue durée, un amour édulcoré qui finira par être souillé. pas d'anneau à son annulaire gauche, pas de nom remplaçant le patronyme paternel. elle demeure une birds malgré les jugements des petites gens, de voir une femme si vieille être encore esseulée. orientation sexuelle → lou ne s'enferme pas dans des carcans. s'il est bien vu de pavaner aux bras de ces hommes virils – et de plus en plus bedonnants pour remplacer les cheveux perdus sur le haut du crâne – lou n'aurait aucun mal à préférer une présence féminine à ses côtés. lou se sert de ses charmes pour blesser et poignarder les hommes, pour les forcer à courber l'échine, pour pousser la féminité vers le haut et laisser ces mâles lubriques sur le bas-côté. alors lou, elle aime tout, tout le monde… mais peut-être un peu plus les femmes que les hommes, s'il y a un choix à faire. lou, elle veut surtout être aimée, peu importe par qui, peu importe comment. traits de caractère → charismatique, cultivée, joueuse, sarcastique, féminine et féministe, forte, impétueuse, sûre d'elle, observatrice, loyale, téméraire, impatiente, drôle, provocante, éloquente, véhémente, dominatrice, sauvage, brutale, combattante. popularité → 20. elle a essayé un peu, lou, de se hisser, de se faire connaître. mais l'art, la mode et tout ce qui donne un peu de hype, c'est pas franchement pour lou. lou, on la connaît surtout pour ses lèvres pulpeuses, pour les arômes chimiques qui entourent son corps gracile, pour son charme indéniable et ses courbes affriolantes dénudées. on la connaît pour le désir qu'elle suscite, pour l'envie qui brille dans les opales des autres femmes. groupe → 5 minutes. maintheme → girls like you, maroon 5. moodboard → lou. avatar → ursula corbero. il faut que tu nous en parle, de ton art ! → pour le moment, lou, on la connaît pour ses jambes trop longues et ses lèvres trop rouges. on la connaît pour la sucette qu'elle tourne indécemment autour de sa langue dans un geste salace, dans un geste provocateur. on la connaît pour ses bas-résilles qui cachent trop et trop peu. et puis petit à petit, lou, elle s'est faite connaître comme une manifestante engagée pour le droit des femmes et des lgbt. lou, elle a décidé que c'était suffisant pour le moment… mais ça, c'était y'a quelques temps déjà. alors aujourd'hui, lou essaie de se faire une place autrement dans ce monde d'hommes avilissants. elle écrit, relit les papiers écrits par un autre – par un miguel un chouïa envié – et s'essaie aux critiques assassines sur ces acteurs, ces films d'auteurs, sur ces petits riens qui constituent la vie des célébrités – connues ou encore inconnues. elle met en lumière les travaux qui lui plaisent suffisamment avec des remarques pertinentes et argumentées, pas un simple ce n'est pas bien. et il y a quelques semaines que son nom a été écorché dans un coin d'un journal bon marché, la gamine aux oiseaux balançant des couteaux cyniques sur la jolie gueule d'un césar st clair qui n'a rien demandé, qui n'a même rien fait pour le provoquer… si ce n'est de la fasciner, dans ses qualités et surtout dans ses défauts. new-york et ses buildings → new-york et l'amérique sont les symboles du rêve américain. si lou n'a absolument pas demandé d'y vivre et d'y évoluer, le hasard fait bien les choses ; elle ne regrette en rien d'être une inconnue parmi tant d'autres à se brûler les doigts sur un café trop chaud en arpentant les rues bondées dans des talons aiguilles douloureux. elle aime, lou, ce sentiment paradoxal d'être à la fois fameuse – connue – et perdue – inconnue. d'exister et de pouvoir disparaître d'un moment à l'autre sans que personne ne remarque rien, tous trop absorbés par leur vie pimpante. et puis à new-york, c'est aussi facile de se faire connaître que de se faire oublier… new-york est cosmopolite, polyvalent, et new-york est le seul endroit où voudrait se trouver lou. la fabrique → warhol apparaît à lou comme cette entité omnisciente qui voit tout, sait tout et contrôle tout. de haut de sa tour impénétrable, il régente la société actuelle des artistes, leur offre un foyer duquel il pourrait les virer dans un excès de folie passagère. il est la déité moderne devant laquelle courber l'échine pour réussir, mais un geste de travers et les étages gravis pourraient être perdus pour retourner au bas de l'échelle. les vitres sont en verre, et il est aisé d'y passer à travers. c'est un monde duquel lou préfère rester éloignée mais dans lequel elle accompagne toujours miguel avec une méfiance teintée de curiosité. elle craint que sa réputation soit jaugée et jugée hâtivement et que toute sa vie soit démantelée à cause d'un mot bafouillé. la fabrique lui apparaît comme étant le théâtre de la débauche où se rendre pour goûter à l'enfer – ou au paradis - artificiel. l'encre de tes mains L'homme n'amène pas son propre malheur, et si nous souffrons, c'est par la volonté de Dieu, bien que je n'arrive pas à comprendre pourquoi il se croit obligé de tellement en remettre. - Woody Allen
des mains vieillies par les années et les préoccupations diverses et variées tremblent légèrement en dépliant le papier froissé. les quelques lettres qui paraphrasent le haut du document forment le mot « espagne ». le vieil homme tâtonne maladroitement derrière lui avec sa main libre et trouve le dossier d'une chaise abîmée. il pose sa croupe sur l'assise, dépliant lentement les feuilles qui composent la lettre… qui s'avère être un acte de décès. - Citation :
- Du registre des actes de l'Etat Civil, il apparaît que le douze février, mil neuf cent quarante cinq, Ambrosia Casandra Rojas, née le 25 avril 1918 à Madrid (Espagne) fille de Javier Mateo Rojas et de Luz Noemi Rojas, époux décédés, est décédée en ladite Commune,
Délivré sur papier libre à titre de simple renseignement administratif, Madrid, 14 février 1945. Le maire. les lèvres du vieil homme – qui apparaît comme étant Javier Rojas – tremblent avec véhémence. de sa voix brisée, il appelle son épouse. - Luz !pas de réponse. - Luz !il réitère. la tête charmante de la femme qu'il n'a jamais cessé d'aimer apparaît dans l'embrasure de la porte, les opales étonnées. et ses prunelles s'assombrissent de chagrin en voyant le désarroi de son époux. - Ambrosia… elle est… elle est…Javier est incapable d'en dire plus, et il n'en a pas besoin. sa femme vient prendre une chaise pour s'asseoir à côté de lui, les opales brumeuses sous les larmes qui les cueillent. - et que dit l'autre lettre ?elle demande entre deux sanglots en la désignant du doigt. le mari hausse les épaules en tentant de ravaler la tristesse qui lui obstrue la gorge. - lis-la, toi.il la supplie presque du regard. la vieille femme, Luz Rojas, prend le papier – froissé lui aussi – dans ses mains veinées et entame la lecture malgré les larmes qui obstruent sa vision. et soudain, ses mains se mettent à trembler si fort que le papier lui échappe des mains. - nous avons… une petite-fille. et elle va nous être envoyée.elle déclare avec émotion. si les deux vieilles personnes sont noyées sous l'émotion, la perte de leur enfant est quelque peu contrebalancée contre un autre à aimer, contre un autre dont s'occuper. Lou Rojas sera sous leur tutelle. […] Chacun a son Amérique à soi, et puis des morceaux d’une Amérique imaginaire qu’on croit être là mais qu’on ne voit pas. - Andy Warhol
- Citation :
- maman,
je sais que tu ne peux pas me lire, mais il n'y a pas un jour sans que je pense à toi. aujourd'hui j'ai dix ans. aujourd'hui ça fait six ans que tu nous a quitté. papi et mamie sont très gentils avec moi. mais ils sont vieux alors je dois les aider… mais je les aime. tu leur manque beaucoup à eux aussi. ils m'ont dit que papa était parti après avoir mis sa petite graine… c'est vraiment méchant. et que ta mort est un accident. maman, j'aimerais bien retrouver papa… mais sans toi avec moi, sans toi pour m'aiguiller, sans indices, je n'y arriverai jamais. maman, tu me manques. maman, je t'aime. les lettres comme celle-ci s'additionnent dans un petit carnet que tient lou – devenue lou birds – depuis qu'elle est arrivée en amérique. le passage de l'espagne à la france n'a déjà pas été aisé. si le statut d'orpheline lui a conféré les droits de s'en aller, beaucoup de paperasse et de temps ont été nécessaires. lou a été confiée à une famille de transition avant d'être amenée vers la france, lentement, coincée dans un bus avec d'autres réfugiés. lou n'était alors âgée que de quatre ans, ne comprenant absolument pas les membres atrophiés et les blessures constituant les corps des personnes partageant son voyage. le régime franquiste bat son plein, la guerre civile puis la seconde guerre mondiale ayant ravagé les populations. lou a eu tout le loisir de s'amouracher des paysages verdoyants de france, de ses montagnes cahoteuses et des nausées accompagnant les virages dangereux. et finalement, c'est sur un bateau – du pas-de-calais – que lou a embarqué. là encore, les vagues l'ont obligé à se tenir près des rembardes du bateau pour se pencher et laisser son repas aux poissons ; mais toujours, lou était protégée, et confié à des adultes respectables facilitant son passage. et c'est l'amérique qui l'a accueilli. et c'est papi et mamie qui l'ont nourrie. qui l'ont hébergée. qui l'ont élevée. et si l'envie de retrouver son père n'a eu de cesse de la tourmenter, elle s'est peu à peu résignée : son père – ou plutôt son géniteur – est un salaud qui a profité de la naïveté de sa mère pour l'enlacer dans les draps défaits et s'en aller aux premières lueurs de l'aube, laissant une femme au cœur meurtri et un petit bout de lui dans son ventre. et peu à peu, c'est l'idée persistante qui s'est accrochée dans son lobe frontal que les hommes étaient tous pareils, à asseoir leur société patriarcale et à museler les femmes. alors lou s'est levée. lou s'est élevée. papi et mamie ont peur pour lou, ont peur de sa langue bien pendue et de ses idées arrêtées ; un jour, des problèmes surgiront. mais lou ne craint rien ni personne, et lou exprime librement son féminisme exacerbé. il y a environ quatre ans, lou est devenue secrétaire pour miguel vargas, un journaliste et critique avec une certaine influence. et à présent, après avoir bataillé pour se sortir la tête de l'eau de toute la paperasse accumulée par la précédente secrétaire – partie en retraite – lou commence à se faire un petit nom. lou est devenue le bras-droit – bien qu'il ne l'avouera pas ouvertement, elle imagine – de miguel et se permet quelques relectures et quelques critiques avisées. lou n'a pas bien commencé dans la vie, entre une mère décédée dans un accident de la route et un père absent. mais lou n'a pas dit son dernier mot. lou saura se faire une place dans la société américaine, entre les andy warhol et les roy lichtenstein. et puisque nous ne sommes rien sans des relations, lou n'a de cesse de cultiver les siennes ; dans la provocation et dans l'indécence, lou insuffle sa présence sur toutes les lèvres. toujours présente aux moindres manifestations féministes et lgbt, lou compte se battre pour que ses idées soient écoutées et que la société change, que la société évolue, que la société se métamorphose. la vie n'est qu'une chenille qui n'attend que de se transformer en papillon. L’amour fantasmé vaut bien mieux que l’amour vécu. Ne pas passer à l’acte, c’est très excitant. - Andy Warhol
au-delà des apparences pseudo/prénom → margaux/un soir d'été. c'est en roue libre, fais-toi plaisir, parle de toi → mais euh je sais pas moi. coucou ? crédit(s) → tumblr & lilousilver.
Dernière édition par Lou Birds le Mar 3 Juil - 17:22, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Lun 2 Juil - 12:27 | |
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Lun 2 Juil - 12:37 | |
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| | | Alma Ruiz
dr. pepper rumeurs : 154 venue : 30/05/2018 faceclaim + crédit(s) : abrielle stedman -- tweek ✩ autre(s) compte(s) : matsuda dollars : 4884 réputation : métier : poétesse habitation : brooklyn
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Lun 2 Juil - 12:47 | |
| moooh, merci, vous êtes des anges. césar, faut qu'on trouve une date et un lieu alors. jaime est parfait.
miguel, je plussoie. ouiiii, moi aussi j'ai trop hâte ; je vais me dépêcher d'écrire ma fiche pour qu'on s'fasse ça vite. j'arrive de ce pas dans tes mps alors, pour qu'on fasse connaissance. ET COMMENT CA TU TE SENS PAS RESPECTÉE ?!
alma, c'est toi la plus belle. comme miguel, je débarque au plus vite dans tes mps pour qu'on fasse plus ample connaissance. merciiii, on est les plus bonnes. par contre au poker, je te oups.
(j'suis déjà beaucoup trop fan des émogifs pour ma propre santé mentale. ) |
| | | Arthur Vargas
triple elvis rumeurs : 114 venue : 10/06/2018 faceclaim + crédit(s) : matthew clavane + venus in fur autre(s) compte(s) : freddy nollekens dollars : 4931 réputation : habitation : -
RP EN COURS
LOUIE | TOMMY | ADAM III
RP TERMINES :
ADAM I | MIGUEL | ADAM II
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Lun 2 Juil - 19:06 | |
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| | | Wanda Bates
dr. pepper rumeurs : 183 venue : 30/05/2018 faceclaim + crédit(s) : HEPBURN // METRONOMY dollars : 4664 réputation : métier : elle écrit des histoires sans fin qui se transforme en livre et en chronique dans le ny times habitation : greenwich village - thanks to mom & book sales.
on se veut
on s'enlace
on se lasse
on s'en veut
je t'enlacerai
tu t'en lasseras
(louise de vilmorin)
rps en cours
alberto -- beldam -- adam -- les frères essam -- paul -- jolene
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Mar 3 Juil - 17:23 | |
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Invité
| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Mar 3 Juil - 21:50 | |
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| | | Alma Ruiz
dr. pepper rumeurs : 154 venue : 30/05/2018 faceclaim + crédit(s) : abrielle stedman -- tweek ✩ autre(s) compte(s) : matsuda dollars : 4884 réputation : métier : poétesse habitation : brooklyn
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Mar 3 Juil - 22:13 | |
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| | | Alma Ruiz
dr. pepper rumeurs : 154 venue : 30/05/2018 faceclaim + crédit(s) : abrielle stedman -- tweek ✩ autre(s) compte(s) : matsuda dollars : 4884 réputation : métier : poétesse habitation : brooklyn
| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Mar 3 Juil - 22:31 | |
| ((bon bah en douce ET AU GRAND JOUR)) ((mais c'est parce que c'est toi)) |
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Mar 3 Juil - 22:44 | |
| la cour des grands wsh ça s'calme les goudous, allez vous prendre une chambre. bon en vrai, plus sérieusement, ta fiche est incroyable, pleine d'images et j'ai adoré celle de lou avec la sucette. genre j'imaginais vraiment ça - et faut dire que la chanson des chordettes m'a beaucoup aidé. y'a beaucoup de poésie, y'a beaucoup de puissance aussi, ça a été un plaisir de te lire, et ohlala hâte de faire des merveilles en ta compagnie. marche à suivre→ Mes félicitations membre parfait à en devenir, maintenant que tu as passé le plus dur, il ne reste que de la paperasse à faire pour la suite. Tu vas pouvoir demander des liens et aussi venir squatter le flood sans aucune gêne ! Si tu souhaites créer des pré-liens et des scénarios, c'est dans cette zone que ça se goupille. On te souhaite un très bon jeu, et on t'embrasse très fort. |
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Invité
| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) Mar 3 Juil - 23:26 | |
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| Sujet: Re: dithyrambique. (lou) | |
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| | | | dithyrambique. (lou) | |
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