forum fermé mais toujours ouvert pour ceux qui veulent lire. merci pour cette aventure, merci pour vous, merci pour votre imaginaire et pour tout ce que vous nous avez donné.
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| | corps accord → ackerman | |
| Auteur | Message |
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Adam Ackerman
varoom ! rumeurs : 221 venue : 20/06/2018 faceclaim + crédit(s) : sprouse + fayrell la déesse. autre(s) compte(s) : mae monroe, miguel vargas, tarek essam et pierrot rose. ♡ dollars : 4920 réputation : métier : photographe érotique, sans vulgarité ni visions crues - seulement le sublime des actes impardonnables. habitation : queens, un petit appartement abordable.
personne ne me touche, personne ne s'approche de moi. mais vous vous m'avez touchée si profondément putain je n'arrive pas à le croire et je n'arrive pas à l'être autant.
| Sujet: corps accord → ackerman Mer 20 Juin - 16:37 | |
| adam ackerman nom → ackerman, un peu d'allemand perdu au loin. ce nom qui jadis ne signifiait rien, et qui pourtant à l'heure actuel fait monter le pourpre aux joues. prénom → adam, le fils qui plante eve dans son jardin avec son serpent. âge → 25 ans, fougue de l'âge qui pourtant ne semble totalement se coordonner avec son caractère de vieillard serein - un mensonge. date et lieu de naissance → monroeville en alabama, dans les images de ses souvenirs imaginaires, elle était jolie monroeville, un peu vide, paisible cependant. il y a vu le jour le 18 novembre 1941. métier → photographe spécialisé dans l'érotisme, un bout de fesse ici, un semblant de dos juste là. loin d'être vulgaire, il ne voit dans l'acte charnel qu'une succession de belles images, qu'il tente de donner à transparaître dans ses oeuvres. trop ennuyé par les portraits, les paysages brumeux, il veut que la corporéité se ressente dans le papier. il a déjà d'ailleurs vendu plusieurs de ses photos pour quelques magazines réservés à ces adultes consciencieux - et aide des femmes à faire de somptueux cadeaux à leurs époux. situation maritale→ célibataire, incapable de papillonner comme il le voudrait - avec son besoin insatiable de s'attacher. orientation sexuelle → hommes et femmes savent ravir ses pupilles, il ne saurait nier son goût pour les beaux corps et les corps beaux. cependant, la facilité ne lui convient, bien plus intéressé par des sentiments qui explosent, il n'a d'attirance véritable pour une personne que lorsque son coeur palpite plus que de raison. demisexuel, qui pourtant apprécie voler les baisers sur les pulpes roses. traits de caractère → discret, tatillon, expressif, humble, observateur, idéaliste, à l'écoute, anxieux, diplomate, tolérant. popularité → un 55 respectable, potable, si personne ne saurait assumer qu'il le reconnaît dans la rue, il reçoit cependant quelques sourires, parfois des remerciements qui se susurrent. dans les salles les plus sombres des expositions, il peut discuter sans tabous son travail et ses manières d'aborder ses sujets. groupe → 10 minutes murmure de la naissance d'une pauvre fleur fanée. maintheme → maryland. moodboard → et ta peau qui se tord. avatar → cole sprouse. il faut que tu nous en parle, de ton art ! →androgynē (1959) - première série, parmi les plus tendres émois. photos criantes d'androgynie de son amant de l'époque, bien-aimé qui s'est du jour au lendemain tiré sans laisser un mot sur la porte. son nom l'indique, son nom le hurle, c'est une ode aux gueules androgynes, un appel aux fantasmes féminins et masculins, une mise à nue du corps par touche comme sous le signe du plaisir solitaire. elle fait partie des indémodables - des plus intimes pour sa décharge émotionnelle. décorpstruction (1960) - seule et unique série qui utilise le collage, de manière un peu maladroite sans doute. dans la forme c'était une création d'un corps avec l'aide de plein de parties d'autres, un appel à plusieurs sens, à des souvenirs d'une main, d'une jambe - du masculin au féminin à nouveau, c'est un puzzle sans visage. bouche à lèvres (1961) - beauté de ces lèvres pulpeuses ou rugueuses, c'est une série de bouches colorées, des femmes comme des hommes s'y sont prêtés. elles sourient, elles miment, elles sont le relâchement et l'éclat de rire sur les draps, elles se mélangent de baisers à coups de langues bien placés. une trace de lèvres ici, une trace de lèvres là. erotica (1962) - positions suggestives, les corps sont entiers, jamais de parcelles pour laisser place à l'imaginaire. plus ou moins clair, des tenues ont cependant été utilisées pour mener vers un potentiel scénario - une histoire quelconque. petite mort (1963) - visages qui atteignent l'orgasme sont phares de cette série. controversée à outrance, elle n'a pas été tenue longtemps et lui a même coûté quelques avertissements - personne ne veut voir les faces se décortiquer sous le plaisir instantané. une déception, une horreur, et ça n'a pas été faute de se battre pour s'affirmer - en vain. courbures (1965) - jeux d'ombres de corps nus qui en forment d'autres, l'illusion d'optique est au centre de son idée. le travail fut de longue haleine, puisque suite à l'affront qu'a été la petite mort, adam a eu du mal à se remettre dedans, à trouver des idées pour ne pas couler. juste, rebondir. un succès plus ou moins retentissant, certains furent même étonnés de son manque de peau. mauvaises langues (1966) - pernicieuses et vicieuses, encore timides qui pourtant font vibrer les peaux. elles sont la matière première de cette série, au même titre que les bouches ont pu le faire. sans couleurs cette fois pour créer le trouble, seulement une sucette, une langue tirée, une langue qui s'enroule, serpentine autour d'un objet qui se fout au bec - fruits qui prennent l'allure de cuisses ouvertes sur l'origine du monde, fleurs qui se retrouvent dans le même gabarit. new-york et ses buildings → c'est un coup de coeur, pire encore, un véritable coup de foudre. elle l'impressionne, elle le fait sourire, parfois pleurer, et surtout new-york lui offre une quantité d'images impressionnante. elle est son inspiration, sa muse en béton qui avale ou recrache ses gosses comme un vieillard qui chique son tabac. il se donne à la ville, elle lui rend bien - ou au contraire lui donne un coup de pied dans le cul phénoménal. la fabrique → présent depuis son ouverture, la fabrique est pour lui plus qu'un moyen d'expression, c'est une manière de ne pas se sentir totalement perdu dans un monde aux dogmes bien précises. plus que montrer, il peut expérimenter, essayer, demander sans tabou ce qu'il souhaite et ne jamais se retrouver déçu. alan est un partisan, un suiveur, un loyal à andy warhol qu'il voit comme tout bonnement un génie - il l'admire, cependant pas dans l'ombre, il a déjà eu l'occasion de lui parler. en plus de ceci, elle est le lieu des rencontres, des peintres, des plus connus au moins connus - elle est la vie dans un huis-clos. l'encre de tes mains y'avait le père, qu'avait toujours ce sourire fier suite à la fin de la guerre. y'avait le père, toujours bien droit dans ses bottes, qui jamais courbait l'échine, qui toujours riait la gorge dévoilée vers un soleil d'été. y'avait le père, un bon soldat, un bon pilote, un bon type à la coupe toujours intacte - d'un joli blond cuivré qui à l'aube prenait tout son sens de beauté. y'avait le père, oui. ce type, un peu gringalet, un peu plus futé que les autres, qu'a survolé le ciel, touché les nuages d'un battement d'ailes. lui qu'a participé aux bombardements en asie de l'est, qui du jour au lendemain a cessé de se lever tôt, de sourire beaucoup trop. y'avait le père dans toute sa splendeur, qui continuait de boire un peu le soir, participait aux réunions familiales en servant la viande comme un homme doit savoir le faire. y'avait le père, dont on a retrouvé la dépouille un beau matin, la ceinture autour du coup, accrochée à une poutre, les doigts violets et la tête déjà bleue. personne saurait vraiment dire quand c'est arrivé - le fait est qu'il était bien habillé, propre de ses vêtements, de son allure générale. y'avait le père, qui peu après hiroshima s'est donné la mort, plutôt que de continuer à voir des spectres inventés qu'il avait éradiqué avec beaucoup d'autres. ce jour-là sa mère a hurlé à s'en décrocher les cordes vocales, ce jour-là adam a été jeté en dehors de la pièce pour qu'il n'en voit pas plus. pour qu'il oublie, ne devienne qu'une image trouble. y'avait le père, un beau jour d'été, enfin relâché de ses fonctions, de toutes ses obligations. repos, as de l'aviation.
et puis y'avait la mère, qui s'est retrouvée seule dans cette maison trop grande. y'avait la mère qui toujours parfaite dans sa coiffure, s'est un jour laissée aller. c'est dans la voiture qu'elle s'est jetée, son fils embarqué dans sa nouvelle aventure, de fuir son passé plein d'ordures, de rejeter son huis-clos de souvenirs souillés par le décès de son époux. y'avait la mère qui les lippes étirées en un croissant de lune inversé, s'est retirée dans un quartier pauvre de new-york la déjantée, pauvre femme au foyer elle n'avait d'expérience que pour parler autour d'un thé. alors elle s'est décidée, les manches remontées, en voyant la bouille renfermée de son môme aux joues rondes. y'avait la mère qu'a essayé des boulots, qu'en a perdu certains mais qui jamais ne s'est laissée abattre - qui dansait parfois les nuits, qui servait le jour et ramenait de quoi avoir l'estomac plein.
pour finir y'avait le fils, pas forcément dégourdi, qui se prenait les pieds dans les lacets et savait pas bouffer correctement. y'avait le fils, les joues toujours chaudes qui pigeait pas grand-chose, qui en classe se faisait toujours discret, à prendre la chaise la plus éloignée - en ne cherchant à faire de vague, seulement à gribouiller sur quelques feuilles de papiers des nuages colorés. lui qui jamais ne pleurait, qui toujours soutenait à bout de bras les gens qu'il aimait - qu'aurait voulut, une fois plus grand, faire meilleur pour son père et lui empêcher de penser autant à la misère. qui gloussait parfois, aussi fort que le bourdonnement d'un colibri. môme discret, silencieux, chiard sans histoire qui pipait mot, qu'est passé du crayon à l'appareil photo.
au-delà des apparences pseudo/prénom → laura, troisième fois. c'est en roue libre, fais-toi plaisir, parle de toi → alors oui j'abuse, ME JUGEZ PAS OK. crédit(s) → old money.
Dernière édition par Adam Ackerman le Ven 22 Juin - 2:15, édité 5 fois |
| | | Arthur Vargas
triple elvis rumeurs : 114 venue : 10/06/2018 faceclaim + crédit(s) : matthew clavane + venus in fur autre(s) compte(s) : freddy nollekens dollars : 4933 réputation : habitation : -
RP EN COURS
LOUIE | TOMMY | ADAM III
RP TERMINES :
ADAM I | MIGUEL | ADAM II
| Sujet: Re: corps accord → ackerman Mer 20 Juin - 16:38 | |
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| | | Louie Graves
campbell's soup cans rumeurs : 403 venue : 10/06/2018 faceclaim + crédit(s) : aaron paul + oim autre(s) compte(s) : kurt apreleva dollars : 5156 réputation : métier : artiste à ses heures perdues, âme égarée éduquant ses démons par quelques coups de pinceaux sur une toile. habitation : nyc, le bronx.
rp en cours | beldam, arthur, frances, mae.
rp terminés | mae.
| Sujet: Re: corps accord → ackerman Mer 20 Juin - 16:57 | |
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| | | Adam Ackerman
varoom ! rumeurs : 221 venue : 20/06/2018 faceclaim + crédit(s) : sprouse + fayrell la déesse. autre(s) compte(s) : mae monroe, miguel vargas, tarek essam et pierrot rose. ♡ dollars : 4920 réputation : métier : photographe érotique, sans vulgarité ni visions crues - seulement le sublime des actes impardonnables. habitation : queens, un petit appartement abordable.
personne ne me touche, personne ne s'approche de moi. mais vous vous m'avez touchée si profondément putain je n'arrive pas à le croire et je n'arrive pas à l'être autant.
| Sujet: Re: corps accord → ackerman Mer 20 Juin - 22:32 | |
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| | | Invité
Invité
| | | | Alma Ruiz
dr. pepper rumeurs : 154 venue : 30/05/2018 faceclaim + crédit(s) : abrielle stedman -- tweek ✩ autre(s) compte(s) : matsuda dollars : 4886 réputation : métier : poétesse habitation : brooklyn
| | | | Adam Ackerman
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personne ne me touche, personne ne s'approche de moi. mais vous vous m'avez touchée si profondément putain je n'arrive pas à le croire et je n'arrive pas à l'être autant.
| Sujet: Re: corps accord → ackerman Jeu 21 Juin - 13:50 | |
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| | | Arthur Vargas
triple elvis rumeurs : 114 venue : 10/06/2018 faceclaim + crédit(s) : matthew clavane + venus in fur autre(s) compte(s) : freddy nollekens dollars : 4933 réputation : habitation : -
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| Sujet: Re: corps accord → ackerman Jeu 21 Juin - 19:16 | |
| - Citation :
- androgynē (1959) - première série, parmi les plus tendres émois. photos criantes d'androgynie de son amant de l'époque, bien-aimé qui s'est du jour au lendemain tiré sans laisser un mot sur la porte. son nom l'indique, son nom le hurle, c'est une ode aux gueules androgynes, un appel aux fantasmes féminins et masculins, une mise à nue du corps par touche comme sous le signe du plaisir solitaire. elle fait partie des indémodables - des plus intimes pour sa décharge émotionnelle.
BYE JSUIS PERDUE YE BYE BYEBEYEBYEBEBBBEEYYYYYE |
| | | Adam Ackerman
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