forum fermé mais toujours ouvert pour ceux qui veulent lire. merci pour cette aventure, merci pour vous, merci pour votre imaginaire et pour tout ce que vous nous avez donné.
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| | viser la tête, narvalo | |
| Auteur | Message |
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Alberto Marchisio
triple elvis rumeurs : 122 venue : 05/06/2018 faceclaim + crédit(s) : g-eazy, fayrell. autre(s) compte(s) : jan + amon. dollars : 4559 réputation : métier : criblé de violence pour toute vision artistique, body art jusqu’à ce que la chair se noircisse d’un nouveau rite païen. habitation : bronx, gracias para la muerte.
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| Sujet: viser la tête, narvalo Mar 5 Juin - 11:51 | |
| alberto marchisio nom → marchisio, fils illégitime de l’olympe fasciste des années 30. pas d’gloire devant l’éternel, l’autel est couvert de sang pour que dalle. on peut bien effleurer les cieux, porter des talonnettes, foutre de la gomina pour changer l’monde. prénom → alberto, le gosse épouvantable qu’on fait mordre à l’hameçon trop facilement. qui sort la tête par-dessus la fenêtre pour dégueuler, qui fait tout, n’importe quoi. amoureux du sensationnel. depuis qu’il est petit on l’appelle narvalo. alberto, on s’demande encore s’il est complètement dément ou s’il est resté le môme insolent qu’il était, celui qui vendait les clopes de son père après l’école. celui qui revenait le lendemain avec un œil au beurre noir. âge → vingt-huit ans, il est pas inquiet. il garde son raisonnement d’enfant de sept ans alberto. il s’en fout comme de l’an 4 de sa belle trentaine. il l’embrasse, il a bien l’intention de rouler à 200km/h sur la 66 à 72 ans. de vivre pour crever. date et lieu de naissance → le 3 janvier 1938 à rome dans la gueule de la mauvaise histoire. métier → alberto, il a pas de métier pour lui garantir un salaire à la fin d’la semaine. il apparaît par intermittence sous les projecteurs comme un mauvais poltergeist. alberto il fait toujours tout pour attirer l’attention, et puis il dégoûte très vite les critiques qui l'encensent puis l'assassinent. qu’il soit un génie ou un détraqué masochiste. alberto il fait des représentations qui se vendent à prix d’or et on vient le voir live se faire tirer dessus. et on dit que c’est de l’art. et on revient, curieux, le voir embrasser une brave octogénaire pendant vingt minutes, leurs bouches scotchées l’une à l’autre. ou l’accompagner jusqu’au cimetière pour l’enterrer vivant dans un cercueil. il appelle ça des performances, sa mère appelle ça des névroses et le supplie d’aller voir un psy. alberto n’a aucune limite, comme un bon nombre d’artistes de body art. il s’est récemment cousu la bouche et a exposé ses premiers clichés, une scène de triolisme, qui l’ont rapidement fait passer auprès de l’opinion public pour un dépravé sexuel. situation maritale→ alberto il dit qu’il est en couple avec tout le monde, il cherche la foudre pour la marquer au fusain sur sa peau. il veut l’extase de nouvelles mains, de mots durs accrochés à la gorge. il veut la vie et la mort sans l’amour. orientation sexuelle → l'authenticité de n’importe quoi, d’une peau contre une autre. il s’est jamais embarrassé de choisir un sexe plutôt qu’un autre, un chiffre plutôt qu’un autre. il est bisexuel, même si sa mère ne se prive pas de lui demander des petits-enfants quand il s’oblige à dîner chez elle. alberto il préfère avoir le choix de ses relations quand bien même on lui demande de redescendre de sa planète et de procréer rapidement. traits de caractère → casse-cou, inconscient, optimiste, créatif, radical, excessif, sensible, provoc, enthousiaste, envahissant, sociable, têtu. popularité → il creuse quasiment sa tombe à chaque fois, faudrait peut-être qu’il claque pour que ça marque les esprits. narvalo c’est oubliable, alberto aussi. d’ailleurs il se balade très librement dans son nouveau new-york. il a pas un visage très marqué, ou si peu, par la guerre, comme tout le monde. on se souvient beaucoup plus de ses actes bizarres désespérés, de sa provoc, du malaise qu’il aime faire transparaître quand il est sous les projecteurs. il s’est longtemps caché sous un masque de football américain, alors il atteint péniblement les 58. groupe → 10 minutes de gloire. maintheme → dare. moodboard → ici. avatar → g-eazy. il faut que tu nous en parle, de ton art ! → ça brûle à l’intérieur comme une douleur amante. le besoin viscéral d’une peau tigrée, d’un corps qui hurle les deux poings sanglants. alberto il désculpte les modèles noircis de bagarres pour éclairer les consciences. il a le pouls qui pique, les marques visibles de ce qu’on oublie trop facilement. tout, il garde tout de l’index jusqu’aux poumons. l’encre déplorable marque son échine alors qu’il s’entaille pour susciter dégoût et fascination. narvalo, il utilise son propre corps. il a jamais utilisé que ça: comme lieu, comme toile de fond, comme accessoire et objet trouvé. c’est éphémère, ça dure le temps d’un flash ou d’une éclipse solaire mais il a besoin de faire acte de résistance, de se sentir éprouvé par quelque chose. que le sang gicle, que les coups de feu crépitent jusqu’à lui. undead (1959) - c’était pas autorisé, pas dans un vrai cimetière, ça ne convenait pas par respect pour les morts. mais il l’a fait quand même alberto, plus tard, avec une réserve d’oxygène pour 3 jours, sans boire ni manger. il est resté enterré sous six mètres de profondeur pendant 62 heures dans la même position. il a été surpris de voir autant de monde le premier novembre se ruer jusqu’à son cercueil. malheureusement sa petite notoriété n’a pas dépassé les confins de l’illinois. self-abuse (1961) breathe into me (1962) - on fronce les sourcils en voyant une brave octogénaire le rejoindre sur scène. on cligne trois fois des yeux en voyant alberto l’embrasser avec autant d’élan parce que c’est foutrement pas correct de faire ça! et on craint de voir ce petit morceau de femme tomber dans les pommes en la laissant partager tout son oxygène avec lui, leurs deux bouches scotchées l’une à l’autre, l’anti baiser hollywoodien. 3 (1965) stitched (1966) kid with a gun (1966) - son neveu de sept ans tient l’arme du crime entre ses doigts. il lui a demandé de tirer sur la cible quelques minutes plus tôt alberto. sans savoir qu’il se tient là, la bouche cousue depuis des mois, le gosse tire droit, ça fait 500 points. il touche le rouge, le bide et alberto s’écroule juste derrière la cible, sans pouvoir hurler. et il arrache les fils tout en se tordant de douleur. il a le visage en sang, les mains qui baignent dans le carmin. il convulse littéralement par terre jusqu’à l’arrivée de l’ambulance devant un public médusé. new-york et ses buildings → il a la tête qui tourne alberto, il a jamais vu de buildings, jamais vu autant de paillettes de sa vie. il est ce bouseux dont on peut se moquer parfois; parce qu’il a grandi non pas à chicago mais à jacksonville. parce qu’il est encore surpris de la masse grouillante qui vit quand le soleil s’éteint. new york l’étouffe quand elle l’étreint. il se sent dangereusement invincible alberto, quand on lui passe la corde au cou, parce qu’il se sent s'asphyxier. la fabrique → des portes et des fenêtres accrochés ici ou rien, de nulle part à jamais. des miroirs inversés qui mentent pour faire cracher les couleurs comme la bile opaque d’un tuberculeux. des pattes fiévreuses qui font une peinture des murs photographiés à l’argentique. qui sauvegarde le drapeau de tous ces artistes qui crèvent la dalle. échange miracle ou toile miraculée du naufrage qui survole le pompeux désordre qu’il affectionne. pourtant il peine à y moudre ses idées alberto, perdu dans l’abattage frénétique des corps qui survolent le sien sans jamais parvenir à le toucher vraiment. il se perd plus qu’il ne s’y trouve à la fabrique, il se sent poisson-chat dans un aquarium. il s’empire à se perdre entre les défections courtoises de ses aînés. l'encre de tes mains j’aimerais que tu couches avec lui, ça m’ferait du bien d’avoir un peu plus mal, que tout se courbe dans la douleur quand je vois ton petit regard sale, que tu le touches devant moi, que tu me souilles malgré toi. et si tu rentres au petit matin, promis ça m’fera rien. -- JADED FUTURE -- FUTURE LAS -- sourire symptomatique, malade. il a le corps qui se tord comme un pantin, les yeux qui se révulsent, il ne voit plus la lumière de la scène, ni de l’hôpital. il ne voit pas l’inquiétude, la fascination morbide dont il est la figure de proue. il ne voit pas. les réactions et les visages. il entend pas les applaudissements habituels, le speaker qui demande à tout le monde de sortir dans le calme, l’agitation tout autour de lui. il entend pas le misérabilisme des stagiaires. les pleurs qu’on étouffe dans un ultime sanglot. il se tape par terre comme une enclume. le bruit rend fou, le bruit fait courir tout le monde vers nulle part. il s’est quasiment arraché les lèvres, parce qu’il pouvait même pas cracher le sang qui lui revenait, comme une pluie acide entre ses dents. il s’étouffait. dans l’indifférence, il s’étouffait. il a tiré sur les fils - à la surprise générale - il dégueulait ses poumons en hurlant alberto. son premier son en trois mois. un cri d’horreur à sécher ses cordes vocales. comment pourrait-il aligner des mots après ça ? qu'est-ce qui peut être beau après ça ? quelles syllabes remuées entre elles ? il a gesticulé de longues minutes pour empêcher ses muscles de raidir sous la douleur, pour ne pas la ressentir, pour l’appréhender. c’est comme si tout se resserrait contre sa cage thoracique. que sa peau brûlait contre ses os disloqués. divin déchet qui plante d’une flèche cruelle son cœur irrécusable. de l’obsession, de l’attirance ou de la répulsion qu’il a pour lui-même dans cet état-là. parce qu’à l’hôpital, on le visite rarement. peur de tomber sur un fou, peur de déranger, peur d’être illégitime. trop normal, trop bien, trop mal. il est sorti un mois plus tard, après deux opérations. avec toujours plus de cicatrices. de marques. d’imperfections. et il a pleuré, comme une merde alberto. dans sa solitude bienséante, baigné d’une honte édulcorée. en revoyant sa famille se faire fusiller dans un décor bucolique. il y avait de belles fleurs rouges qu’on ne trouve qu’au printemps.
au-delà des apparences pseudo/prénom → gotzeus, sam. c'est en roue libre, fais-toi plaisir, parle de toi → beaucoup trop d'trucs à dire, misère. ma vie est une improvisation constante, j'habite dans l'nord, j'veux retourner voir mon paris. j'viens de m'acheter detroit: becoming human et j'passe bcp trop de temps dessus. j'ai pris 5kg depuis janvier j'le vis pas bien. j'suis aussi prof, l'genre à apprendre à jouer au poker à ses secondes voilà. crédit(s) → old money.
Dernière édition par Alberto Marchisio le Mer 6 Juin - 0:54, édité 9 fois |
| | | Beldam Wiswas
campbell's soup cans rumeurs : 398 venue : 29/05/2018 faceclaim + crédit(s) : donald glover + lux astern autre(s) compte(s) : Caïn Morel dollars : 5412 réputation : métier : peintre, plasticien habitation : babybronx
it's not who you are that holds you back it's who you think you're not
ALICE l BERTO l LOUIE l COLE & ADAM
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mar 5 Juin - 11:52 | |
| allez, ce personnage promet carrément !
bienvenue à toi. j'aurais aimé t'avoir en seconde. |
| | | Mae Monroe
varoom ! rumeurs : 704 venue : 11/05/2018 faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé. autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡ dollars : 6376 réputation : métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées. habitation : manhattan.
tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mar 5 Juin - 11:58 | |
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| | | Alberto Marchisio
triple elvis rumeurs : 122 venue : 05/06/2018 faceclaim + crédit(s) : g-eazy, fayrell. autre(s) compte(s) : jan + amon. dollars : 4559 réputation : métier : criblé de violence pour toute vision artistique, body art jusqu’à ce que la chair se noircisse d’un nouveau rite païen. habitation : bronx, gracias para la muerte.
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terminés:
freddy (1) - mae (1) - oscar (1) - césar (1)
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mar 5 Juin - 12:17 | |
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| | | Mae Monroe
varoom ! rumeurs : 704 venue : 11/05/2018 faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé. autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡ dollars : 6376 réputation : métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées. habitation : manhattan.
tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mar 5 Juin - 12:19 | |
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| | | Alma Ruiz
dr. pepper rumeurs : 154 venue : 30/05/2018 faceclaim + crédit(s) : abrielle stedman -- tweek ✩ autre(s) compte(s) : matsuda dollars : 4884 réputation : métier : poétesse habitation : brooklyn
| | | | Invité
Invité
| | | | Invité
Invité
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mar 5 Juin - 18:16 | |
| AHhhhhhhh je te connais pas mais je t'aime déjà (voilà) ce début de personnage est absolument fou J'ai adoré lire son travail artistique! (non mais le nord c'est la vie c'est quoi ces gens qui veulent retrouver paris par contre? ) |
| | | Mae Monroe
varoom ! rumeurs : 704 venue : 11/05/2018 faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé. autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡ dollars : 6376 réputation : métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées. habitation : manhattan.
tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
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soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.
| | | | Alberto Marchisio
triple elvis rumeurs : 122 venue : 05/06/2018 faceclaim + crédit(s) : g-eazy, fayrell. autre(s) compte(s) : jan + amon. dollars : 4559 réputation : métier : criblé de violence pour toute vision artistique, body art jusqu’à ce que la chair se noircisse d’un nouveau rite païen. habitation : bronx, gracias para la muerte.
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freddy (1) - mae (1) - oscar (1) - césar (1)
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mer 6 Juin - 0:56 | |
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| | | Invité
Invité
| | | | Mae Monroe
varoom ! rumeurs : 704 venue : 11/05/2018 faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé. autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡ dollars : 6376 réputation : métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées. habitation : manhattan.
tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
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| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mer 6 Juin - 11:04 | |
| la cour des grands "gnagnagna c'est bâclé" j'te casse les dents quoi samsam le plus petit des grands héros ? mAIS C'EST QUOI CETTE FICHE DU FEU DE DIEU. c'est beau, c'est sale, c'est du sam dans toute sa splendeur, ptn t'abuses sa mère, je me sens TOUTE PETITE FACE A TOI. NOTICE ME SENPAI. j'te valide vas-y, qu'on lance notre rp de la muerte et qu'on fasse des folies. marche à suivre→ Mes félicitations membre parfait à en devenir, maintenant que tu as passé le plus dur, il ne reste que de la paperasse à faire pour la suite. Tu vas pouvoir demander des liens et aussi venir squatter le flood sans aucune gêne ! Si tu souhaites créer des pré-liens et des scénarios, c'est dans cette zone que ça se goupille. On te souhaite un très bon jeu, et on t'embrasse très fort. |
| | | Freddy Nollekens
varoom ! rumeurs : 231 venue : 29/05/2018 faceclaim + crédit(s) : matthias schoenarts + vert alligator autre(s) compte(s) : arthur vargas, adel essam dollars : 5129 réputation : métier : agent d'artiste, dénicheur de talents et faiseur d'étoiles habitation : manhattan RP EN COURS : ALBERTO II | MAE IV
| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mer 6 Juin - 11:22 | |
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| | | Alberto Marchisio
triple elvis rumeurs : 122 venue : 05/06/2018 faceclaim + crédit(s) : g-eazy, fayrell. autre(s) compte(s) : jan + amon. dollars : 4559 réputation : métier : criblé de violence pour toute vision artistique, body art jusqu’à ce que la chair se noircisse d’un nouveau rite païen. habitation : bronx, gracias para la muerte.
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| Sujet: Re: viser la tête, narvalo Mer 6 Juin - 13:32 | |
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| Sujet: Re: viser la tête, narvalo | |
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| | | | viser la tête, narvalo | |
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