i never met a wolf who didn't love to h o w l ((iris))

nom → cobblepot, un nom qui ne passe pas inaperçu, un nom que l'ont connait, que l'on voit apparaître partout que l'on en ait envie ou non, nom qui se forme sur les lèvres tandis qu'on l'interpelle pour lui poser des questions. on était habitué à faire des erreurs en l'écrivant, désormais, il s'inscrit dans l'histoire tel une marque au fer rouge.  prénom → c'est telle la fleur qu'elle se prénomme, iris, parce que c'est c'qu'elle était. la petite fleur de sa famille, presque trop pur pour ce monde, iris, prénom qui perd absolument toute pureté, prénom qui s'associe parfaitement à son air de princesse mais qui a perdu toute pureté, rongé par ses démons intérieurs. âge → vingt huit petites étoiles dans son ciel de vie. encore jeunette, et pourtant pas si innocente, ses traits se creusent peu à peu que les années passent et ça la terrifie. certains lui disent que c'est qu'un chiffre, mais pour elle c'est plus que ça. elle s'accroche à sa jeunesse tant qu'elle le peut parce que bordel, c'est la seule chose qui lui reste. date et lieu de naissance → certains la diront chanceuse d'être née en un certain quatre juillet, mais pour elle, c'est une malediction. car le seul jour où l'on pourrait l'oublier pour cette indépendance qui se célèbre, les regards sont encore tournés vers elle. c'est à little rock, dans l'arkansas qu'elle poussait ses premiers hurlements, il y a désormais vingt huit ans de ça. métier → elle excelle dans l'art de prétendre, de jouer. actrice, elle est sur ces écrans, son visage apparaissant en plein time square et en couverture des journaux. elle joue, alterne entre diverses émotions, et le problème c'est qu'elle est beaucoup trop bonne dedans. parce qu'aujourd'hui c'est difficile de savoir quand on voit l'iris, la vraie iris, ou l'actrice. situation maritale→ fausse briseuse de coeur, la voici aujourd'hui s'affichant aux bras d'un homme qu'elle prétend aimer. elle le regarde comme si il était l'homme le plus extra de cette planète, et elle semble heureuse, du moins c'est ce que le sourire transcrit aux caméras. pourtant, ce n'est qu'apparence car son coeur appartient à un autre et ce même coeur saigne à l'idée de savoir qu'elle n'est pas libre de ses choix. prisonnière de sentiments et d'un couple dont elle veux pas.  orientation sexuelle → elle n'a pas vraiment le luxe de se poser la question, car qu'importe ses préférences, c'est aux bras d'hommes dont elle se retrouvera. heureusement pour sa situation, elle s'est toujours vue attirée uniquement par les hommes et n'a jamais été tenté à l'idée d'essayer avec une femme. traits de caractère → y a l'actrice, la belle aux sourires qui lui donnent cet air presque angélique. celle qui joue la naïve, la petite menteuse manipulatrice, la séductrice et la briseuse de coeur, la capricieuse et pourrit gâtée, la superficielle celle qu'on déteste. la même qui va mener cette cigarette orné d'un porte-cigarette à ses lèvres, plus pédante c'est impossible. puis y a iris, la vraie iris. celle qui avait cette étincelle dans son regard, étincelle désormais éteinte. la brisée, l'ancienne passionnée et joviale. celle qui est simplement détruite, qui se contente de rendre sa vie intéressante comme elle le peut. celle qui hurle à l'aide mais que personne n'entend, ou que l'on ignore volontairement. celle dont tous le monde se fou, parce que c'est pas cette iris là qu'on veux voir. la même iris, aux tendances auto-destructrice parce que ça lui permet de survivre. la même qui va vider sa bouteille de jack daniel's pour pouvoir s'endormir le soir. popularité → 85. groupe → 15 minutes. maintheme → for fame, play the game, change your name to the twentieth century fox. moodboard → clique ici. (uc) avatar → blake lively.

il faut que tu nous en parle, de ton art !  →elle est excellente dans l'art de reproduire les émotions humaines. d'un fou rire effrayant à la crise de larmes sur commande, ça elle sait le faire la belle. c'est une actrice, avec les paillettes qui vont avec et les contraintes. elle, c'était cette gamine qui rêvait de la scène, aux multiples talents. elle sait danser, chanter, improviser, parce qu'elle a maximiser ses chances, et y a dix ans, elle quitte l'arkansas pour débarquer à new york, la divine new york dans le but de conquérir le monde avec son joli petit minois. des années de galère, mais elle n'a jamais abandonné. elle était serveuse dans un bar dans lequel elle chantait deux soirs par semaine, et c'est lors d'une audition qu'elle pensait avoir ratée y a trois ans qu'elle s'est démarquée; call back, puis le verdict tombe: elle a le rôle. et la voila, enfin réalisant son rêve de gamine gagnant assez de fric pour s'en sortir, pour en vivre. mais le rêve s'est vite transformer en cauchemar, elle sait pas quand ça s'est mit à dégénérer. probablement aurait-elle dû prendre le temps de lire ce contrat avant d'imposer sa signature dessus, parce qu'aujourd'hui iris, elle vit de son rêve de gamine, mais elle pensait pas que ce rêve avait un prix. elle pensait pas qu'en laissant cette plume glisser sur ce papier, elle vendrait son âme au diable. Parce que elle, elle s'en foutait de la notoriété, elle voulait juste vivre de sa passion. L'artiste a disparu pour laisser place à cette poupée superficielle.
new-york et ses buildings → i love new york, clâme-t-elle bien trop heureuse d'être ici. new york, c'est son échappatoire. parce que quand elle en a marre et qu'elle arrive à s'échapper d'entre les griffes de sa maison de production, elle peut disparaître dans cette foule et le temps d'un instant, redevenir celle qu'elle était. pas l'actrice, iris, la simple iris, la vraie, l'authentique. alors new york, elle ne la quitterait pour rien au monde même si dans le fond, ça serait peut-être le ticket de sa liberté.
la fabrique → avant l'actrice se trouve l'artiste, et l'artiste elle adore ce lieux d'art de d'échange. seulement, elle doit prétendre être contre, c'est c'qu'on lui dit. et quand elle a avoué à ses producteurs trouver cet endroit formidable, ils se sont mit à lui écrire ses textes, parce qu'elle doit pas flancher, elle doit pas tâcher cette image de fille chérie de l'amérique. iris, c'est le cliché, la normalité. quand on la regarde, on la sent victime de cette putain de misogynie. elle peut pas dire ce qu'elle veux, et elle peut pas avouer que cet endroit, elle le trouve génial, elle doit se contenter de paraître cette demoiselle stupide, trop stupide pour comprendre l'art. parce que son agent lui colle aux basques. il lui est pourtant arrivé, tard dans la nuit, de s'extraire de cet appartement new yorkais pour disparaître dans la foule de cette dites fabrique et de se mêler aux corps alcoolisés, trop pour la reconnaître. mais iris, elle l'adore cet endroit pour le peu où elle a mit les pieds dedans, et le fait d'en être dans l'obligation de s'en privé ne lui donne que plus envie de s'y aventurer.  

ta fiche est incroyable ma douce. genre vraiment. déjà blake colle SI BIEN - oui je me répète - à ce rôle, mais en plus ta plume mais wouah. j'en ai eu des poils, elle me rend si triste, elle me donne envie de me jeter dans mon écran pour la sauver - ou remonter le temps au choix. j'adore tout ce que tu dis, le fait qu'elle doive dire être contre la fabrique, ce côté monde de la production vs les artistes perchés de la fabrique. je suis.    et puis le maintheme, il passe tellement crème, elle est folle folle folle iris. t'inquiètes elles iront se pleurer mutuellement sur leurs épaules - elle l'emmènera à la fabrique mae, tout le temps, et elles foutront le feu à la piste de danse. je te valide avec grand plaisir bien sûr, merci pour cette pépite.  

marche à suivre→ Mes félicitations membre parfait à en devenir, maintenant que tu as passé le plus dur, il ne reste que de la paperasse à faire pour la suite. Tu vas pouvoir demander des liens et aussi venir squatter le flood sans aucune gêne ! Si tu souhaites créer des pré-liens et des scénarios, c'est dans cette zone que ça se goupille. On te souhaite un très bon jeu, et on t'embrasse très fort.