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 “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”

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MessageSujet: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptySam 9 Juin - 23:28



Rowe Margaret


nom → Rowe prénom → Margaret âge → 23 ans date et lieu de naissance → vingt-cinq septembre, ici-même, dans le Queens métier → aide ménagère. situation maritale→ célibataire. orientation sexuelle → bisexuelle traits de caractère → Comment décrire un paradoxe vivant ? Margaret est douce, gentille, généreuse mais se révèle vite sarcastique, très intelligente et vive d'esprit. Perdue quelque part entre la lune et la terre, il est difficile de cerner la jeune femme. Elle-même ne s'est jamais vraiment cernée. popularité → 15/100, le talent de la demoiselle commence à être réputé dans son quartier mais juste à peine, comme un petit oisillon qui commence à éclore. groupe → cinq minutes. maintheme → Wild - Here we go moodboard → underconstruction. avatar → Natalia Dyer

il faut que tu nous en parle, de ton art !  → Margaret mit trois longues années à trouver le mouvement qui correspondait à son art, à ce qu'elle photographiait, à ce qu'elle aimait montrer, représenter, faire ressentir. Elle se trouva finalement dans le mouvement du nouveau réalisme. En effet, la jeune femme se plaît à montrer des scènes du quotidien qui, au premier abord, peuvent paraître tout à fait banales. Cependant, lorsqu'on regarde d'un plus près ses photographies, il y a toujours un détail, quelque chose, qui change toute la nature de l'image.

Le féminisme et la communauté LGBT sont une grande partie de son travail, la jeune femme voulant changer le regard du monde sur les femmes et la communauté gay.
new-york et ses buildings → New-York, chère ville qui ne dort jamais … Est-ce-que Margaret aime sa vie natale ? Oui, bien évidemment. Est-ce-qu’elle aimerai voyager ailleurs, découvrir d’autres paysages, d’autres cultures ? Oui, aussi.  
Dire que Margaret ne connait pas sa ville par cœur serait un mensonge. Elle passe des jours et des nuits à parcourir chaque rue, chaque quartier, à la recherche d’inspiration, de LA photo qui réalisera ses rêves, de nouvelles rencontres qui changeront sa vie, sa façon de pensée, sa vision du monde.
Vraiment, elle n’irait pas vivre ailleurs pour le moment. Elle aime, elle adore, le côté cosmopolitain de New-York tout autant qu’elle déteste cette façon de séparer chaque classe sociale dans différents quartiers tout en acceptant de trouver des gens au milieu des rues de Manhattan entrain de faire la manche dans l’espoir de pouvoir se payer, au mieux , un repas dans la journée.
la fabrique → La fabrique ? Un rêve. Warhol ? Un idole. Margaret n’est qu’admiration devant l’artiste qu’est Warhol. Si elle pouvait ressembler à quelqu’un, ça serait bien lui. Alors imaginer sa réaction lors de la création de la fabrique, elle n’était que joie et euphorie.
La jeune femme a cet espoir fou qu’il tombe un jour sur ses photos et apprécie tant son talent qu’il choisisse de la faire entrer dans ce cercle fermé qu’est la fabrique. Malheureusement, jusqu’ici, tout cela ne s’est encore jamais produit et, afin de ne pas trop être déçue, Margaret se force à ne pas croire que cela puisse arriver un jour. Elle préfère de loin se dire que ses photos ne valent rien, qu’elle n’a pas de talent, que jamais elle ne percera dans le monde de la musique et encore moins dans le monde de la photographie.



l'encre de tes mains

Margaret Rowe, un nom si doux, presque angélique, qui s’accorde si bien aux traits délicats de la jeune artiste.

La jeune femme naquit un certain 25 septembre, quelques jours après le début de l’automne. Les cinq premières années de sa vie furent parfaite, son père et sa mère filaient le parfait amour malgré les difficultés de la vie dans le Queens.  A eux deux, ils parvenaient à gérer parfaitement une petite épicerie populaire. Jusqu’au jour où, tout dérapa. Du haut de ses cinq automnes, Margaret put voir sa mère, en larmes, hurlant à plein poumons et jetant la valise de son mari sur le perron du petit appartement en rez de chaussée qu’ils louaient.

Autant vous dire qu’elle, elle ne comprenait pas. Non, elle ne comprenait pas pourquoi ses parents se déchiraient soudainement, elle ne comprenait pas non plus certains mots que criaient sa mère. Après tout, qu’est ce que c’est l’infidélité ou encore la jeunesse ? Qu’est ce que c’est la trahison ? Ca n’a aucun sens, c’est comme les mots « guerre » ou encore « argent » , « calculs », « pauvreté ». C’est juste des mots bons à donner mal à la tête.

Suite à ce jour, Margaret ne revit jamais son père ni le bonheur dans le regard de sa mère. Il fallut à peine quelques mois avant que l’épicerie ne ferme, les clients ayant désertés suite au scandale de l’infidélité. Il ne fallut pas plus de temps avant que l’argent ne vienne à manquer. Au fur et à mesure que le temps avançait, la vie devenait de plus en plus difficile. Cependant, même si sa mère ne fut plus jamais heureuse, elle se battit comme une lionne pour donner à Margaret la vie qu’elle méritait.

Petit génie du piano, elle vit sa maman se tuer à la tâche pour lui permettre de prendre des leçons, sans se douter qu’elle se tournerai finalement vers une toute autre forme de l’art.
Malgré les coups durs, Margaret vécut une vie plutôt tranquille et parvint à avoir une scolarité à peu près normale. Passionnée d’art, elle ne cessait d’admirer les graffitis sur les murs, les photographies, jouant même à la photographe, malgré l’absence de matériel.

Le jour de ses quatorze ans, l’adolescente découvrit un cadeau sur la table de la cuisine. Lorsqu’elle l’ouvrit, elle ne put s’empêcher de fondre en larmes. Elle avait entre ses mains l’un des derniers appareils photos  à être sorti. Sa mère, ne pouvant pas ignorer l’attrait de sa fille pour l’art, enchaîna deux boulots afin de pouvoir le lui offrir. Une chose est sûre, cette décision fut décisive pour le destin de Margaret.

Faisant des photos tout à fait banales au premier abord, l’adolescente se chercha, longtemps. Puis, à l’âge de dix-sept ans, elle finit par trouver son mouvement ; le nouveau réalisme. Margaret, derrière ses airs de petit ange, voulait provoquer, voulait faire réagir. La pauvreté de son quartier, les mendiants à chaque coin de rue, les prostituées sur le bord du trottoir, rien n’échappait aux yeux aiguisés de l’adolescente.

Dès lors, elle commença à travailler à côté du lycée afin de pouvoir subvenir à ses besoins par elle-même. Passionnée, elle suivit un cursus spécialisé en art. Cependant, lorsqu’elle obtenut son diplôme, la réalité la frappa. Elle ne pouvait pas aller à l’université. Rêveuse, trop prise par son art, à montrer la réalité de la société, elle en avait oublié la sienne : elle était pauvre.

Margaret commença alors à enchaîner les petits boulots, comme sa mère. Aujourd’hui âgée de vingt-trois ans, elle est aide ménagère dans un petit motel miteux du quartier. Rien de fou, rien de passionnant, elle se perds elle-même dans la routine.

C'est à l'âge de quinze ans, lors d'un simple action/vérité avec des amis, que Margaret découvrit sa bisexualité. Jusqu'à son adolescence, elle n'avait jamais été attiré par les relations amoureuses. C'est lors d'un baiser avec l'une de ses plus proches amies que la demoiselle réalisa qu'elle n'éprouvait pas que de l'amitié à son égard. Elle cacha cette information au monde entier, trop honteuse pour l'admettre. Il lui fallut une année entière avant de finalement oublier ses sentiments. En fait, lorsqu'elle rencontra son premier petit copain. Bien que profondément amoureuse de lui, la féministe qu'elle était déjà ne supporta pas bien longtemps le comportement sexiste et misogyne de son petit ami. Elle le quitta au bout de trois mois de relation. Au fil des années et des rencontres, Margaret posa finalement un nom sur sa sexualité : bisexuelle. Bien qu'elle ait pu sortir du placard auprès de sa mère, la jeune femme continue de cacher cette information au reste du monde.

Grâce aux bouches à oreille, au soutien de sa mère, le nom de Margaret et son art commencent petit à petit à faire parler dans le quartier du Queens mais pas plus loin dans New-York. Elle est tout de même un minimum satisfaite lorsqu'elle voit certains regards outrés se poser sur elle. Elle sait qu'ils ont vu ses photographies et c'est tout ce qui compte.

Pourtant, la jeune femme continue de rêver à la célébrité, au fait qu’elle pourrait changer le monde grâce à ses photos, même si pour le moment, elle n’a même pas encore une seule exposition à son actif.





au-delà des apparences

pseudo/prénom → lostinthemoonlight ou bien Carla, tout simplement. c'est en roue libre, fais-toi plaisir, parle de toi → 21 ans, salariée, passionnée d'écriture et faisant du rpg depuis mes douze ans, j'ai craqué devant la beauté et l'originalité de la Fabrique. crédit(s) → old money.



Dernière édition par Margaret Rowe le Mar 12 Juin - 21:35, édité 4 fois
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Beldam Wiswas

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métier : peintre, plasticien
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it's not who you are that holds you back it's who you think you're not

ALICE l BERTO l LOUIE l COLE & ADAM


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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptySam 9 Juin - 23:42

super choix d'avatar.
bienvenue à toi !!
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Mae Monroe

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métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées.
habitation : manhattan.
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tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.





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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyDim 10 Juin - 11:53

NATALIAAA. :pls: :aude:
i'm emo, elle est beaucoup trop jolie pour ce monde, pour cette vie, je la veux pour épouse jusqu'à ma mort. :fall: je suis trop curieuse d'en savoir plus sur ta doucette en tout cas, et ce prénom est trop joli. :kyu: bienvenue et bonne chance pour ta fiche, n'hésite pas en cas de besoin ! :fox:
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https://weheartit.com/kinjiki/collections/144827079-mae https://open.spotify.com/user/11158060775/playlist/7mveqPg0CTCbidJpW43jcO?si=gS2kcyjtTy-BhUXgGwsC-Q
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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyDim 10 Juin - 21:03

Merci tous les deux :bril:
Natalia est effectivement une déesse, je pleure devant tant de beauté :cc: :luv:
Je travaille sur ma fiche pour vous en faire une toute jolie, j'espère que la petite Margaret vous plaira !
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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyDim 10 Juin - 21:13

Natalia est tellement mignonne et ton pseudo tellement joli, tout ceci est prometteur “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  1910767133 bonne continuation pour ta fiche :heartu:
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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyDim 10 Juin - 23:08

elle est bien belle ta margaret dis donc I love you sois la bienvenue ici I love you
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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyMar 12 Juin - 20:34

Merci beaucoup toutes les deux, vous êtes trop mignonnes :bril:
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Freddy Nollekens

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métier : agent d'artiste, dénicheur de talents et faiseur d'étoiles
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RP EN COURS : ALBERTO II | MAE IV




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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyMar 12 Juin - 23:27

bienvenue officiellement :han: je t'ai mp sous mon autre compte (arthur) pour un petit lien :sam:
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Mae Monroe

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tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
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[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.





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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  EmptyMer 13 Juin - 17:47



la cour des grands

margaret est adorable, elle respire la douceur et la gentillesse. :aude: j'ai adoré les petites références à nos annexes, le fait qu'elle s'inscrive dans le mouvement lgbt à cette époque, à ses risques et périls. :perv:

marche à suivre→ Mes félicitations membre parfait à en devenir, maintenant que tu as passé le plus dur, il ne reste que de la paperasse à faire pour la suite. Tu vas pouvoir demander des liens et aussi venir squatter le flood sans aucune gêne ! Si tu souhaites créer des pré-liens et des scénarios, c'est dans cette zone que ça se goupille. On te souhaite un très bon jeu, et on t'embrasse très fort. :heartu:

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MessageSujet: Re: “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”    “What is bad for the heart is good for art. The terrible irony of our lives as artists.”  Empty

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