AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
forum fermé mais toujours ouvert pour ceux qui veulent lire.
merci pour cette aventure, merci pour vous, merci pour votre imaginaire et pour tout ce que vous nous avez donné. I love you
Le deal à ne pas rater :
Xiaomi Mi Smart Camera 2K Standard Edition (design compact / support ...
11.39 €
Voir le deal

Partagez
 

 JOLENE S. - Power to the people !

Aller en bas 
AuteurMessage
Jolene Sanders

Jolene Sanders

triple elvis
rumeurs : 31
venue : 28/06/2018
faceclaim + crédit(s) : diane kruger
autre(s) compte(s) : /
dollars : 4345
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty48 / 10048 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : passée d'activiste à serveuse et de serveuse à actrice.
habitation : un petit appartement à Brooklyn, qu'elle partage avec son fils Jack



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 12:32



JOLENE MARIAN SANDERS


nom → Sanders (née Finlay) prénom → Jolene parfois appelée "Joe". Elle tient d'ailleurs son prénom de son grand père, Joe, qu'elle n'a pas connu. Son second prénom est Marian, comme Marian Bergeron, la Miss America des années 1933 et 1934, soit la miss amérique d'avant la naissance de Jolene, couronnée au jeune âge de 15 ans. âge → 31, mais elle a l'air beaucoup plus jeune. date et lieu de naissance → octobre 1935, une petite ville près de Tucson, Arizona. métier → femme au foyer, serveuse et sur le point de devenir une actrice superstar à cause d'un rôle principal dans un film en post-production actuellement. situation maritale→ veuve et mère d'un garçon, Jack, 11 ans orientation sexuelle → hétérosexuelle. traits de caractère → protectrice envers son fils, rebelle, déterminée, mature et mmh...socialiste ? popularité → Jolene vient soudainement de sortir de l'anonymat grâce à un film dans lequel elle a tourné par hasard.  De mère au foyer/ serveuse à star de cinéma, Jolene n'a pas le temps de réaliser ce qui lui arrive. Pour l'instant, elle est donc 40 > 60 new-york commence à en avoir doucement vent, c'est un frisson à l'oreille. Mais cela est sur le point d'exploser de manière très soudaine, c'est l'idée :) groupe →0 minutes maintheme → https://www.youtube.com/watch?v=3sh4kz_zhyo (for you have nothing, if you have no rights). moodboard → none.  avatar → Diane Kruger.


et ton travail ? →  Jolene n'est pas une artiste, mais une activiste en fuite, qui part hasard s'est trouvée sous les caméras récemment grâce à un réalisateur qui la repérée alors qu'elle était au travail (elle est pour l'heure serveuse). Le film dans lequel elle a joué, un film plus au moins historique, où elle joue le rôle principal, est celui d'un réalisateur peu connu, sur le point de faire exploser les ventes grâce à ce film, pourtant d'un genre peu à la mode, grâce à son côté féministe. Son job de serveuse ne la passionne pas, mais lui permet de gagner de l'argent. Quant au cinéma, ça a été une expérience intéressante et agréable mais elle ne pensait pas que l'occasion se représentera. Elle pensait simplement avoir eu de la chance de vivre cette expérience et ne pense pas qu'elle lui apportera grande célébrité. c'est pourquoi elle a rapidement repris son job initial. A l'origine, Jolene voulait étudier la littérature. On en est donc bien loin. Ce qui comptait surtout pour elle, c'était de protéger son fils. En attendant que la vente de sa maison se fasse et d'assurer ses arrières, avec ce job de serveuse, car en Amérique...rien est gratuit. Elle ne se rend pas encore bien compte de ce qui lui arrive.
Parcours :
1966 - The leading queen, vêtue d'une perruque de cheveux foncés, elle y joue Mavia, reine en croisade contre l'impérialiste Rome.
new-york et ses buildings → New York a été la ville de ses rêves, puis cette place a été remplacée dans son coeur par Seattle. C'est par obligation qu'elle est revenue à New York, dans l'empressement et la fuite. Il lui reste cependant, à New York, quelques amis qu'elle apprécie. L'atmosphère y est agréable, mais ne vaut pas ce nid douillet qu'elle avait fini par tant aimer dans la banlieue de Seattle, état de Washington.
la fabrique →  Honnêtement, elle ne connait Andy Warhol que de nom. Elle ne sait rien de la fabrique pour l'instant et n'y est donc pas opposée ou admiratrice. Difficile d'en dire plus, elle ne connait tout simplement pas ce monde là.


l'encre de tes mains

Près de Tucson, Arizona.


Je suis né à près de Tucson, dans l’Arizona en 1935, d’un père électricien, Lloyd, et d’une mère notoirement absente Lucy. Elle est tombée enceinte de moi à l’âge de dix-sept ou dix-huit, et n’est jamais devenue très responsable pour autant.
Quand ma mère est partie, la première fois, j’avais deux ans. Elle est revenue quand j’en avais cinq pour repartir quand j’en avais dix. Elle n’avait jamais été très présente avant cela, alors son départ ne m’a pas toute suite marqué comme étant définitif. Pourtant, elle n’est jamais revenue. Et je n’ai jamais su où elle était allée…Chercher une vie dont elle voudrait, sans doute. New York, Los Angeles,…Qui sait ? Ma mère et ses rêves de grande vie. Elle était jolie mais stupide. Adolescente, elle se voyait la nouvelle Doris Day, alors qu’elle ne savait pas chanter juste plus d’une seconde trente ou être élue Miss America, du haut de ses vingt-huit ans. Ma mère était naive. Ma mère était une enfant.
Je me suis occupée de mon père et de son alcoolisme durant toute mon adolescence, jusqu’à ce que son ingratitude dépasse des sommets. Sa nouvelle petite amie, Agnès, était là pour le saigner jusqu’aux dents. Mon père avait décidément le chic pour trouver ses femmes. Il est allé jusqu’à céder la maison sur laquelle nous avions tant travaillé, tout le deux, pour la restaurer, à cette croqueuse de diamants, âgée d’à peine cinq ans de plus que moi. Pire, mes économies destinées à la fac avait été utilisée pour acheter une robe de mariée à « digne de sa beauté » à Agnès.
J’avais dix-huit ans quand je montais dans ce bus pour New-York. Je ne savais pas ce que j’allais devenir à New-York, mais je voulais être loin de ma petite ville près de Tucson, loin de l’Arizona, loin de ma vie. J’avais besoin d’un nouveau départ, de penser à moi et non plus aux problèmes de mon père. J’avais besoin de vivre ma jeunesse, pour une fois. J’avais eu les meilleures notes de ma promotion au lycée, je méritais de réussir.

New York, 1953.


J’ai commencé là où toutes les filles commencent ; je suis devenue serveuse. L’ambition, je l’avais. La détermination, la volonté, la rage, je les avais aussi. J’étais aussi une idiote, une idiote condescendante. Ma colère envers l’irresponsabilité de mes géniteurs m’avait fait détester les quartiers populaires. Je voyais en ces gens dont je faisais pourtant partie, une majorité de fainéant, d’alcoolique et de personnes non-désireuse de travailler pour s’en sortir comme moi, qui aurait pu n’avoir que des A si seulement mon père et ses problèmes n’étaient pas venus se mettre en travers de mon chemin.
Impétueuse, voir arrogante, la simple serveuse que j’étais croisa alors la route d’un jeune homme de quinze ans. J’en avais presque dix-neuf. Il était venu jouer les coqs frimeurs dans le bar où je travaillais et je l’ai remis à sa place. Notre histoire a été pour moi comme pour lui, une sorte d’exutoire à la colère que nous avions en nous. Un exutoire à notre rage de vie et notre haine de la vie. Un moyen de joutes verbales acérées vers lesquelles on revient sans cesse pour gagner le prochain round. Le tout, saupoudré de tensions sexuelles. César n’était pas le premier, mais il n’était pas non plus aussi loin dans la liste des mes amants qu’il pouvait le penser. A Tucson, j’avais eu des sentiments amoureux pour un garçon de mon âge, sans jamais dépasser les limites du convenable. A New-York, je rencontrais un homme plus âgé. Il avait déjà 30 ans, des manières élégantes et était cultivé. Sortant d'une faculté de droit et travaillant dans un cabinet d'avocat, il venait prendre son dîner où je travaillais. A l'origine, il n'était pas un client régulier. Il l'est devenu pour moi, pour me voir. Pendant près d'un an, et je n'en suis pas fière, j'ai été sa maîtresse, chose que je n'ai su qu'à la fin de notre relation. Il était souvent en voyage, pour le travail, disait il. Je ne me posais pas plus de question. La vérité a éclaté au grand jour quand je lui ai appris que j'étais enceinte.
Je ne voulais pas d'un enfant. Je voulais reprendre mes études, ce pourquoi je tentais de mettre côté le peu d'argent que je pouvais me le permettre. Je n'étais pas le genre de femme à compter sur quelqu'un pour m'entretenir, même si j'ai parfois imaginé ma vie au côté de ce brillant avocat, l'espace d'une seconde. Mon plan était le suivant : entamer une année d’étude que je réussirais brillamment et que l’état accepterait ensuite de me subventionner grâce à mes notes….Tout ça s’envolait en éclat. Je me devais de prévenir le père, ce que je fis. J'appris alors toute la vérité. Marié, déjà père d'un enfant, ne voulant pas entendre parler de celui là. James ne voulait plus me revoir. J'avais été dupée. Utilisée. La pilule était amère. Il me donnerait l'argent pour trouver un médecin qui accepterait de me faire avorter. Je refusais l'argent, fierté oblige, l'insultant au passage de salaud.
Avorter ? J’y pensais, en réfléchissant également à tous les risques que cela comportait. Je n’étais pas une croyante convaincue, bien qu’ayant été baptisée dans la chrétienté, mais je n’étais pas non plus prête à me débarrasser d’un fœtus. N’oublions pas que je venais d’un état du Sud, des plus conservateurs et des plus chrétiens, où flottaient souvent le drapeau confédéré et où le soutien aux lois ségrégationniste était aussi fort que la roche. Et à cela, il fallait ajouter le risque de mortalité suite aux avortements mal-pratiqués.

New York, 1954.


J’ai ramassé mes économies et quitté mon studio meublé de Brooklyn. A Tucson, on ne traitait pas bien les femmes non mariées qui mettaient au monde des enfants. Cela n’arrivait d’ailleurs pas souvent, car un mariage était rapidement programmé pour éviter les commérages. A New-York, c’était peut être un peu différent, l’hostilité était peut-être un peu moins présente, les regards un peu moins méprisant, mais c’était tout de même une atmosphère de reproches permanents qui m’attendraient moi et mon enfant sans père. Pour être moins jugée et ne pas avoir trop de mal à trouver un travail, je décidais d’inventer un père militaire à mon enfant à naître. L’histoire était la suivante ; envoyé en mission en Afrique, dans les pays colonisés, mon fiancé et moi devions nous marier à son retour. L’acte charnel avant le mariage restait critiqué mais lorsqu’il s’agit de cet acte d’amour entre une fiancée et son mari parti guerroyer pour on ne sait combien de temps, c’était bien plus compréhensible aux yeux des gens. Je ne quittais pas New York, je trouvais du travail loin de James, comme secrétaire au siège social d’une compagnie de bus qui traversait les Etats Unis, comme celle qui m’avait amené de l’Arizona à New York.
Un jour, je dû annoncer à mon patron la fausse mort de mon faux mari, suite à un tir accidentel. Je lui assurais cependant que je continuerais à faire mon travail correctement, malgré le deuil, car il fallait que j’élève mon enfant. En effet, mon fils, aux cheveux aussi foncés que les miens étaient clairs, était né. Je l’avais appelé Jack, sans autre raison que celle que ce prénom me plaisait et sonnait agréablement à mon oreille. Il ressemblait indéniablement à son père mais cela ne m’a pas empêché de l’aimer dès la première seconde. Certes, mon ambition avait été autre que celle de devenir mère si jeune. Certes, une certaine frustration existait au fond de moi, devant le fait que mes rêves d’études et de grandes carrières intellectuelles s’envolaient au loin. Mais, je ne regrettais pas Jack. Et j’avais encore suffisamment confiance en moi et mes capacités pour me dire que je parviendrais à monter les échelons, grâce à mes capacités.

New York, 1957


J’ai rencontré Christopher à l’agence où je travaillais. Il venait réserver à l’avance un billet pour se rendre à Seattle, dans l’Evergreen State qu’on appelle aussi Washington. Christopher a tout de suite essayé de me draguer, de manière charmante, tout à fait charmante ceci dit, et nous avons commencé à sympathiser. En trois mois, nous étions tombés amoureux et j’avais été métamorphosée dans ma pensée politique. De l’arrogante redneck américaine qui ne s’assumait pas et blâmait les pauvres pour leur pauvreté, j’étais en passe pour devenir une communiste convaincue, dans un pays où cela était la pire des idées possibles. Le jour où Christopher, cela devait être lors de notre troisième rendez vous, avait dit le mot « marxiste », j’avais évidemment senti une déception immense m’envahir. Lui, marxiste ? J’avais sur le marxisme les idées tout faite véhiculé par la radio et la société bien pensante américaine. «C’était mal, cela ne marchait qu’en théorie, c’était la décadence assurée, c’était récompenser les fainéants de leur fainéantise, c’était contraire à la liberté, à l’Amérique ».
Pourtant, j’aimais assez Christopher que pour ne pas m’enfuir à cette annonce. Il ne s’était pas enfui, lui, lorsque je lui avais annoncé que je n’étais pas veuve d’un militaire, juste une femme devenue mère par accident qui avait dû inventer des histoires pour trouver un travail assez bien payé que pour élever son fils.
Tout doucement, je commençais à fréquenter ces gens dont on ose à peine prononcer le nom, où que l’on prononce avec dégouts ; « les communistes ». J’avais lu Marx, Engel et Proudhon. J’étais convaincue, à mon tour.
Christopher a fait un premier voyage à Washington, sans moi. A son retour, quelques lettres ayant été envoyées, ma réflexion ayant avancé, nous planifions un second voyage dans l’Evergreen State. Ensemble, cette fois. Tous les trois. Christopher m’avait demandé en mariage. J’avais dit oui. A Washington, il pourrait subventionner et aider à la direction d’une nouvelle proche de l’organisation secrète du mouvement. Il avait également trouvé un autre travail. Chris’ était plus âgé que moi. Il avait presque trente ans alors que j’en avais vingt et un. Il avait passé une partie de son enfance en Angleterre et malgré ses idéaux politiques, ne manquait pas d’argent, qu’il utilise d’ailleurs à bon escient pour servir notre cause. Son père possédait en réalité une petite entreprise fournissant des femmes de ménages aux immeubles de bureau. Antiségrégationniste et socialiste de cœur tout en admirant l’Amérique et le rêve d’entreprendre qu’elle offrait, il ne soutenait pas les idéaux de son fils, sans pour autant les dénigrer. Il était loin de se douter de l’ampleur de l’investissement de son fils dans les groupuscules de ce qu’on dénommait comme la gauche radicale.
En pleine guerre du Vietnam, l’organisation de manifestation pour la paix, la distribution de tracts, les nuits passée à afficher illégalement notre propagande,  cela rythmait notre vie. Derrière l’emploi de mon mari dans la société de son père, mon rôle de mère au foyer et d’épouse parfaite, nous étions des rebelles,  des communistes…en Amérique.

Etat de Washington, 1963


Du chemin avait été fait. Discours de Martin Luther King, abolition des lois ségrégationnistes ; Etre communiste en Amérique restait cependant être un paria pourchassé dans une jungle hostile. Comment pouvait-on être américain et communiste ? Beaucoup ne pouvaient le comprendre et y voyait de l’antipatriotisme, de la russophilie ou que sais je. La société était ainsi faite et j’avais moi aussi, un jour, été ignorante sur le sujet.
J’avais vingt huit ans. Jack avait huit ans. Un attentat avait eu lieu durant une manifestation d’un groupuscule de l’alt-right. Il y avait eu 3 morts, tous des néo-nazis ou des ségrégationnistes. A partir de là, ça a été la dégringolade. Christopher a été inculpé et arrêté, comme d’autres de nos amis. Nous n’avions rien fait, si ce n’est crier notre haine de leur haine au visage de ces racistes. D’une manière trop rapide pour que je puisse le comprendre, Christopher était mis en prison. La sentence était tombée à plus de vingt ans. La police a commencé à me surveiller de près. Pendant un an, Christopher me recommandait de ne rien faire, de ne plus rien faire pour la cause qui nous secouait jusqu’au plus profond de nos tripes. Il semblait avoir perdu sa fougue devant l’injustice du système. Il considérait Jack comme son fils et ne voulait pas le voir privé de sa mère. Il l’avait même adopté, à notre mariage, lui avait donné son nom. Nous étions Christopher, Jolene et Jack Sanders. J’aimais mon fils de tout mon cœur et je voulais sa protection plus que tout, et même plus que ce monde pacifique auquel nous aspirions. Mais une goutte d’eau a fait débordé le vase de mon inaction quand Christopher a été tué par un membre de l’alt-right dans sa cellule, au début de l’année 1965.

Etat de Washington, 1965


L’année 1965 a été celle où je ne me suis plus cachée, où je voulais crier l’injustice de la mort de mon mari pour que cela résonne jusqu’au Grand Canyon et au-delà. A la place, j’ai supervisé manifestations sur manifestations, distribué tracts sur tracts résumant « Das Kapital » et d’autres livres de grands penseurs. J’étais toujours mère au foyer, mais je vivais dans ma propre maison, celle que Chris avait achetée au début de notre mariage. Il avait eu l’intelligence de souscrire une assurance vie et de mettre quelque argent de côté pour ls mauvais jours, mais je savais bien sûr que tout cela ne serait pas éternel. Cependant, ma tristesse et ma colère guidait ma pensée vers une seule et même obsession, la justice et le communisme.

J’ai été arrêtée pour la première fois au mois de mars. Je ne suis restée que deux jours derrière les barreaux. Ma caution a été payée par un ami. « Trouble à l’ordre public », ce n’était pas un très grand crime, mais ils m’avaient à l’œil. J’ai été arrêtée une seconde fois, en juin. Jack a été gardé par nos amis. Je suis sortie après deux semaines, cette fois, le temps de rassembler l’argent, dont nous commencions à manquer. J’ai compris que ma position ne permettait plus de mener les choses comme je le faisais, sans mettre en danger ma sécurité financière et la sécurité de mon fils. Je me suis calmée, si on peut dire, tout en cherchant à dénoncer sur quelques radios libres, dans le plus grand pacifisme, l’injustice de la condamnation de mon mari et de son mort. L’absurdité du fait que les socialistes étaient moins bien perçus que les néo nazis alors qu’ils ne pronaient pas la haine. J’ai rappelé notre innocence dans cet attentat. Puis, j’ai essayé de retrouver du travail, mais avec l’appellation communiste qui était comme marquée au fer rouge sur ma peau dans mon quartier et parfois même jusqu’au centre de Seattle, ce n’était pas évident. Même Jack en subissait parfois les frais à l’école. D’autres parents enjoignant leurs enfants de l’insulter.

La société de nettoyage du père de Chris était passée, à la mort de celui-ci, peu après l’assassinat de Chris, à sa sœur, Clotilde, mariée à un républicain tout ce qu’il y a de plus conservateur. Ils ne voulaient rien avoir à faire avec nous.
Quand à mon père, à Tucson dans l’Arizona…Ce n’était même pas envisageable.
L’automne arrivait et depuis l’été, je pensais sérieusement à vendre la maison et à déménager de cet état qui m’avait si bien accueilli et que j’avais tant aimé. Je mis donc en vente mon bien le plus précieux, celui qui avait vu grandir Jack et l’amour entre Christopher et moi. Un événement m’enjoignit cependant de partir plus vite, sans attendre que la vente soit finalisée.
- Joe ?
- Oui ?
- Devon a déconné. Il y a eu un accident. Devon a vraiment déconné. Il faut que tu te tires Joe, où ils vont croire que c’était planifié, que c’est nous qui avons planifié. Il faut que tu te tires tout de suite.
Devon, c’était un jeune garçon qui avait commencé à s’intéresser à notre cause. Il avait pris une arme pour aller tirer sur des républicains. Ce n’était pas du tout ce que nous prônions, mais ça pouvait nous retomber dessus.
J’ai pris tout l’argent liquide que j’avais et j’suis montée dans la voiture. A toute vitesse, avec pour bagage le stricte nécessaire, j’ai parcouru les Etats Unis avec Jack. J’avais toujours quelques amis à New York. Ils diraient que j’étais arrivée plus tôt et que je n’avais donc pas pu orchestrer cet acte. Que depuis plusieurs semaines je leur parlais à la recherche d’un nouveau lieu où habiter à New York. Ils confirmeraient que j’avais tiré ma référence de tout cela. De toute façon, avec un peu de chance, Devon ne serait pas relié à nous. Où il s’en sortirait vivant et leur dirait qu’il avait fait ça seul. Mais je devais rouler. Rouler vite.

New York, 1966.


Je logeais dans un petit appartement à New York depuis plus de deux mois mois déjà. J’avais inscris Jack en cours de route dans une nouvelle école. J’avais repris un job de serveuse, tout en continuant les négociations par téléphone pour la vente de la maison. Devon n’avait pas été relié à notre groupe d’amis, par chance. Il avait été déclaré dans les journaux comme étant un déséquilibré dont on ignorait les motifs. Il fallait, cependant, que j’assure mieux mes arrières.
Soudain, je tournais dans un film de cinéma. Je n'avais pas fait de casting, rien. Ma mère aurait été folle de jalousie. J’avais simplement été repérée dans le restaurant où je travaillais par un réalisateur qui s’était mis à discuter avec moi. Il avait les idées bien à gauche, tout en ne s’engageant pas en politique, et avait entendu mon histoire, de passage à Seattle. Le monde est si grand, et si petit en même temps. Je lui plaisais de visage et d’esprit, il m’a alors proposé le premier rôle, à moi qui n’avait jamais joué. Pendant la post-production du film, j'oubliais presque ce film. Le réalisateur avec qui j'avais tourné n'était pas très connu, quoi qu'ayant des moyens financiers.
Pendant un temps, prise dans mon tourbillon de problèmes, avec la vente de la maison, le maigre travail de serveuse, l'éducation de Jack, la solitude suivant la mort de mon mari, le grand amour de ma vie, je ne pensais même plus à ce film historique que j'avais tourné en costume antique. Il n'avait été pour moi qu'un moyen de faire de l'argent. Je savais que j'étais une bonne oratrice, et j'avais bien joué dans la pièce de mon lycée. Mais je n'avais jamais pensé à une carrière d'actrice jusqu'alors. Les paillettes, tout ça, c'était le rêve de ma mère. De ma stupide mère. J'y repensais en touchant mon salaire, qui me fit bien plaisir.
Quand le réalisateur m'appela pour m'inviter à la première du film, je m'achetais une robe élégante et m'y rendait. J'étais l'actrice principale, dans un rôle qui me collait assez bien ; Mavia, reine guerrière en révolte contre Rome, que le réalisateur avait toutefois voulu élégante et féminine. Il y avait aussi de l'amour, ajoutée à l'histoire, entre Mavia et l'un de ses soldats.
La standing ovation la surprit déjà, tout en la flattant. Se voir à l'écran était déjà si étrange...Alors, la reconnaissance...
Quelques jours plus tard, cependant, ce fut une surprise plus grande encore quand l'article d'un critique visiblement connu pour son côté acerbe, vantait le film et surtout, le talent et le charme de son actrice principale. Quand son réalisateur l'appela pour lui lire l'article, Jolene ne comprit pas. Elle n'a toujours pas compris mais son visage est dans les journaux, et son nom écrit en grandes lettres. C'est incompréhensible.

[/i]



au-delà des apparences

pseudo/prénom → anonyme pour l'instant plz age→ 22 ans sexe→ femme crédit(s) → old money.



Dernière édition par Jolene Sanders le Ven 29 Juin - 21:25, édité 15 fois
Revenir en haut Aller en bas
Jolene Sanders

Jolene Sanders

triple elvis
rumeurs : 31
venue : 28/06/2018
faceclaim + crédit(s) : diane kruger
autre(s) compte(s) : /
dollars : 4345
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty48 / 10048 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : passée d'activiste à serveuse et de serveuse à actrice.
habitation : un petit appartement à Brooklyn, qu'elle partage avec son fils Jack



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 12:53

Okay guys ! So...Je suis tombée sur le forum, je fais des études d'Histoire donc c'est plutôt l'aspect historique qui m'a séduite que l'aspect cinéma. J'ai été inspirée par l'idée de créer un personnage communiste dans cette Amérique des années 60'. Mais avant, j'ai été voir les scénarios et j'ai vu que mon idée de personnage pourrait être adaptée pour faire un heureux, donc j'ai brodé et fais des compromis dans mes idées pour coller au scénario de Cesare. Si les compromis que j'ai fais sont trop pour lui, je peux modifier mon histoire pour y remettre ce que j'avais en tête à l'origine et supprimer les passages incluant Cesare ou son fils. Voilà voilà. Aussi, n'hésitez pas à me signaler si le forum tournant beaucoup autour des arts, je risque de ne pas avoir de quoi faire avec mon personnage ? Je suis un peu étonnée qu'il n'y aie que des artistes sur le forum, même si c'est le sujet de base. Les artistes rencontrent parfois d'autres personnes qui ne le sont pas ; serveur, taxidriver etc. Ces personnes de l'ombre sont elles jouables dans votre forum ou risquent t elles de ne pas avoir leur place ?

Des bisous !

PS : J'ai pas fait exprès de poster dans "fiches validées" :O Désolée :/
Revenir en haut Aller en bas
Mae Monroe

Mae Monroe

varoom !
rumeurs : 704
venue : 11/05/2018
faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé.
autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡
dollars : 6318
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty78 / 10078 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées.
habitation : manhattan.
JOLENE S. - Power to the people ! Large

tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.





JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 16:13

woah diane, elle est juste TROP BELLE. :aude: et ce pseudo, j'adore le prénom jolene. I love you bienvenue du coup ! :bsr: pour répondre à tes questions, pour ce qui est du pré-lien avec césar je te laisse voir avec lui, et du coup je ne pourrais pas valider ta fiche sans son accord si tu es son pré-lien. ensuite, pour ce qui est des personnages de l'ombre et du fait qu'il y ait beaucoup d'artistes, oui du coup comme tu l'a souligné c'est normal puisque c'est le thème principal du forum. :mdr: en revanche nous n'avons aucun problème à avoir ce type de personnages, bien au contraire. on a des personnages qui sont liés indirectement aux arts - agents, critiques, etc - comme d'autres qui ne sont pas forcément dedans, alors pas de lézard à y avoir. Wink j'en profite aussi pour te dire qu'il manque quelques petits trucs dans ta fiche, le groupe pour commencer et ensuite concernant les deux questions " parler de ton art " et " ton travail qu'est-ce que tu en pense " il faut choisir entre l'un ou l'autre selon ton groupe. du reste il manque quelques lignes sur la question de la fabrique, étant donnée qu'elle reste un peu centrale au forum, ce serait bien de développer un peu - si elle connaît warhol de nom c'est déjà ça. I love you
Revenir en haut Aller en bas
https://weheartit.com/kinjiki/collections/144827079-mae https://open.spotify.com/user/11158060775/playlist/7mveqPg0CTCbidJpW43jcO?si=gS2kcyjtTy-BhUXgGwsC-Q
Jolene Sanders

Jolene Sanders

triple elvis
rumeurs : 31
venue : 28/06/2018
faceclaim + crédit(s) : diane kruger
autre(s) compte(s) : /
dollars : 4345
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty48 / 10048 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : passée d'activiste à serveuse et de serveuse à actrice.
habitation : un petit appartement à Brooklyn, qu'elle partage avec son fils Jack



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 16:18

Yo ! Mmh pour le groupe justement je ne sais pas dans lequel me mettre ? Ca pourra changer ? Car comme je l'ai écris Jolene est sur le point de devenir très connue alors qu'elle ne s'y attend pas, mais actuellement elle serait plus dans le groupe vert.
Pour : maintheme → ici. moodboard → ici => Je sais pas ce que c'est :/
Pour la fabrique, ok je vais essayer de mettre un peu plus de lignes mais comme elle le connait pas encore, c'est compliqué :/  Warhol avait des revendications politiques ? Républicain, Démocrate ? Elle pourrait parler de ça éventuellement dans ses lignes...
Sinon tu vois pas d'inconvénient à ce qu'elle passe d'inconnue à très connue à cause d'un film prochainement ? On pourra changer mes points de popularité à ce moment là ?

(Et oui, Jolene c'est trop joli comme prénom *-* A l'époque la chanson n'est pas encore sortie mais bon quand même c'est trop beau :heartu: )
Revenir en haut Aller en bas
Arthur Vargas

Arthur Vargas

triple elvis
rumeurs : 114
venue : 10/06/2018
faceclaim + crédit(s) : matthew clavane + venus in fur
autre(s) compte(s) : freddy nollekens
dollars : 4873
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty25 / 10025 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


habitation : -
JOLENE S. - Power to the people ! Large

RP EN COURS
LOUIE | TOMMY | ADAM III

RP TERMINES :
ADAM I | MIGUEL | ADAM II


JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 17:13

je me permets de répondre pour Warhol, il est plutôt démocrate quand même, il a des revendications assez populaires, notamment rendre l'art accessible à tout le monde :bril: et étant donné qu'il est homosexuel, en 1966, clairement il est pas républicain :mdr: tu peux parler du pop art en général, de ce qu'elle en pense, + si elle a entendu des rumeurs sur la fabrique sans doute, genre y'a peut être un article ou deux qui est paru dans le journal qu'elle lit, et en fonction de l'orientation politique de jolene, ça peut tout à fait changer son opinion sur la fabrique (on est influencé par ce qu'on aime :bril: )
Juste pour finir, maintheme c'est une musique concernant ton perso, et moodboards c'est une galerie d'image que tu fais sur pinterest ou weheartit pour donner à voir l'esthétique de ton perso, regarde par exemple celle d'arthur !
Dans tout ça, un grand bienvenue, Diane est un choix parfait je l' ai déjà jouée et fioufff :bril: et juste "power to the people" c'est une référence à "captain fantastic ?" :bril:
Revenir en haut Aller en bas
https://www.pinterest.fr/aniclas/arthur-vargas/ https://open.spotify.com/user/audijolo/playlist/1R1f1SpjBjTrXc12LIMM8Q?si=bOPEwmoiS2O3Svn2PAyAVg
Jolene Sanders

Jolene Sanders

triple elvis
rumeurs : 31
venue : 28/06/2018
faceclaim + crédit(s) : diane kruger
autre(s) compte(s) : /
dollars : 4345
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty48 / 10048 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : passée d'activiste à serveuse et de serveuse à actrice.
habitation : un petit appartement à Brooklyn, qu'elle partage avec son fils Jack



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 17:17

Power to the people est une phrase dite par beaucoup de socialistes et communistes. C'est aussi une chanson de John Lennon. Mais j'ai vu Captain Fantastic et j'ai adoré et le petit est trop mignon quand il dit : Power to the people, strike the system down.

J'avais lu que Warhol avait fait part de sa réticence à payer des impots, ce qui m'avait donné une image de lui assez pro capitaliste et appât du gain...
Revenir en haut Aller en bas
Arthur Vargas

Arthur Vargas

triple elvis
rumeurs : 114
venue : 10/06/2018
faceclaim + crédit(s) : matthew clavane + venus in fur
autre(s) compte(s) : freddy nollekens
dollars : 4873
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty25 / 10025 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


habitation : -
JOLENE S. - Power to the people ! Large

RP EN COURS
LOUIE | TOMMY | ADAM III

RP TERMINES :
ADAM I | MIGUEL | ADAM II


JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 17:42

ah clairement il était loin d'être communiste c'est certain ! Et puis le capitalisme c'était clairement son fond de commerce il allait pas le renier en étant communiste :mdr: en ce qui concerne les impôts je savais pas du tout :hm:

Aaaaaah on est d'accord c'est trop chou ! Je savais pas d'où venait cette réplique du film, maintenant je sais hehe :bril: ça semble logique sur ce soit une phrase se communiste What a Face
Revenir en haut Aller en bas
https://www.pinterest.fr/aniclas/arthur-vargas/ https://open.spotify.com/user/audijolo/playlist/1R1f1SpjBjTrXc12LIMM8Q?si=bOPEwmoiS2O3Svn2PAyAVg
Mae Monroe

Mae Monroe

varoom !
rumeurs : 704
venue : 11/05/2018
faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé.
autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡
dollars : 6318
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty78 / 10078 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées.
habitation : manhattan.
JOLENE S. - Power to the people ! Large

tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.





JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 17:46

j'avoue ne pas avoir encore lue la totalité de ta fiche. I love you du coup merci arthur pour avoir éclairé certains points. pour ce qui est de sa popularité soudaine, on a parlé du système de popularité dans la zone adéquate, ça fonctionnera par potins qu'il faudra du coup acheter par le biais des dollars, de fait si jolene est totalement inconnue au bataillon, il faudra la mettre dans le groupe 0 en attendant qu'elle bascule de l'autre côté. Wink en revanche pour ce qui est d'une popularité soudaine, j'ai un peu de mal à croire au petit bonheur la chance. elle aurait pu faire des castings ? jouer dans des films plus mauvais par exemple ? ce qui ferait déjà un tout petit nom, lui ferait de l'expérience et j'en passe - n'ayant pas lue la totalité de la fiche, je dis sans doute ça sans savoir. :mdr: mais voilà. :luv:
Revenir en haut Aller en bas
https://weheartit.com/kinjiki/collections/144827079-mae https://open.spotify.com/user/11158060775/playlist/7mveqPg0CTCbidJpW43jcO?si=gS2kcyjtTy-BhUXgGwsC-Q
Jolene Sanders

Jolene Sanders

triple elvis
rumeurs : 31
venue : 28/06/2018
faceclaim + crédit(s) : diane kruger
autre(s) compte(s) : /
dollars : 4345
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty48 / 10048 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : passée d'activiste à serveuse et de serveuse à actrice.
habitation : un petit appartement à Brooklyn, qu'elle partage avec son fils Jack



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 19:10

@MaeMonroe : Si tu as lu ma fiche en entier tu dois comprendre pourquoi elle devient une vedette d'un seul coup ? C'est important pour moi dans son histoire parce que justement, c'est un célébrité non désirée et soudaine qui permettrait des liens de jalousie, qu'elle puisse parler de ses opinions, enfin ça offre beaucoup de possibilités + ça fait qu'elle a juste le temps de prévenir César qu'il a un fils et qu'en cas de probleme elle aimerait qu'il veille à ce qu'il soit en sécurité et puis juste après ça elle est elle même sous les projecteurs donc j'aimerais vraiment gardé cet aspect où finalement elle est soudain plus dans la merde financièrement et que sa célébrité elle l'a pas désirée, elle lui est tombée dessus comme ça. Car Jolene n'est pas du genre à s'intéresser au casting et autre d'elle même.
Revenir en haut Aller en bas
Mae Monroe

Mae Monroe

varoom !
rumeurs : 704
venue : 11/05/2018
faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé.
autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡
dollars : 6318
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty78 / 10078 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées.
habitation : manhattan.
JOLENE S. - Power to the people ! Large

tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.





JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyJeu 28 Juin - 19:15

je vais en parler avec ma collègue et je reviens ver toi, vu que le système de popularité on ne l'a pas conçu de cette manière. :hm: je te tiens au jus, ça devrait être assez rapide. :luv:
Revenir en haut Aller en bas
https://weheartit.com/kinjiki/collections/144827079-mae https://open.spotify.com/user/11158060775/playlist/7mveqPg0CTCbidJpW43jcO?si=gS2kcyjtTy-BhUXgGwsC-Q
Mae Monroe

Mae Monroe

varoom !
rumeurs : 704
venue : 11/05/2018
faceclaim + crédit(s) : pearl liaison + sharkloé.
autre(s) compte(s) : adam ackerman et miguel vargas. ♡
dollars : 6318
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty78 / 10078 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : performer, plasticien, styliste - tryptique du délire aux pilules acidulées.
habitation : manhattan.
JOLENE S. - Power to the people ! Large

tu sais comment c'est, quand tu couches pour la toute première fois avec quelqu'un que tu ne connais pas.
[...]
tu es comme un écran vide.
[...]
soudain tu as, complètement inconsciemment, la possibilité de te montrer — face à l'autre — comme tu aimerais être. et souvent, c'est différent de ce que tu es en fait.





JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyVen 29 Juin - 13:09

après discussion avec ma collègue, on a décidé de faire exception. :v: tu feras juste comme chacun doit faire, donc accumuler des dollars, puis faire une demande de potin, suite à ça nous mettrons en place cette fameuse montée en flèche qui donnera beaucoup plus de popularité à jolene. Wink du reste, j'attends l'avis de @césar st clair s'il est d'accord pour le pré-lien. :sir:
Revenir en haut Aller en bas
https://weheartit.com/kinjiki/collections/144827079-mae https://open.spotify.com/user/11158060775/playlist/7mveqPg0CTCbidJpW43jcO?si=gS2kcyjtTy-BhUXgGwsC-Q
Jolene Sanders

Jolene Sanders

triple elvis
rumeurs : 31
venue : 28/06/2018
faceclaim + crédit(s) : diane kruger
autre(s) compte(s) : /
dollars : 4345
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty48 / 10048 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : passée d'activiste à serveuse et de serveuse à actrice.
habitation : un petit appartement à Brooklyn, qu'elle partage avec son fils Jack



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyVen 29 Juin - 14:26

Ok, je n'attends plus qu'une réponse de César alors ^^
Revenir en haut Aller en bas
Adam Ackerman

Adam Ackerman

varoom !
rumeurs : 221
venue : 20/06/2018
faceclaim + crédit(s) : sprouse + fayrell la déesse.
autre(s) compte(s) : mae monroe, miguel vargas, tarek essam et pierrot rose. ♡
dollars : 4860
réputation :
JOLENE S. - Power to the people ! Empty59 / 10059 / 100JOLENE S. - Power to the people ! Empty


métier : photographe érotique, sans vulgarité ni visions crues - seulement le sublime des actes impardonnables.
habitation : queens, un petit appartement abordable.
JOLENE S. - Power to the people ! Large

personne ne me touche, personne ne s'approche de moi. mais vous vous m'avez touchée si profondément putain je n'arrive pas à le croire et je n'arrive pas à l'être autant.

JOLENE S. - Power to the people ! CySPVi4d_o JOLENE S. - Power to the people ! Tov5HuhW_o JOLENE S. - Power to the people ! Vfh2fGWy_o



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! EmptyVen 29 Juin - 21:57



la cour des grands

c'est parfait du coup, merci pour les modifications ! I love you comme dit sur la cb, c'est une petite pépite à détails historiques, j'ai beaucoup aimé. :bril:

marche à suivre→ Mes félicitations membre parfait à en devenir, maintenant que tu as passé le plus dur, il ne reste que de la paperasse à faire pour la suite. Tu vas pouvoir demander des liens et aussi venir squatter le flood sans aucune gêne ! Si tu souhaites créer des pré-liens et des scénarios, c'est dans cette zone que ça se goupille. On te souhaite un très bon jeu, et on t'embrasse très fort. :heartu:

Revenir en haut Aller en bas
https://weheartit.com/kinjiki/collections/146363055-adam https://open.spotify.com/user/11158060775/playlist/6f1wBTz0FQEMGDONnrXjfE?si=O9gvBy7YTYWrO4x_LS7HbA
Contenu sponsorisé



JOLENE S. - Power to the people ! Empty
MessageSujet: Re: JOLENE S. - Power to the people !   JOLENE S. - Power to the people ! Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
JOLENE S. - Power to the people !
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» dark turquoise + jolene
» éternellement vôtre → jolene & wanda
» JOLENE - tale of an unwanted and sudden american dream.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
→ la fabrique :: folie des grandeurs :: bouts d'essais :: présentations validées-
Sauter vers: