pré-lien de mae monroe → (1/1)

histoire totalement libre, j'aime cependant l'idée qu'il soit né dans un foyer ouvrier, et qu'il ait pourquoi pas un parent anglais. quant à sa découverte de becky, son adolescence et j'en passe c'est à votre convenance. il aurait cependant commencé à tourner dans des films de série z à 18-19 ans, le premier ayant fait scandale sans doute.    

mae monroe/allen graves → c'est pas vraiment depuis l'enfance que ça dure, même si l'un comme l'autre ils auraient souhaités se connaître plus tôt. mae et becky c'est l'histoire un peu concrète, un peu évidente qui s'est imposée dans les bars underground de new-york, avant que la montée en flèche pour le performer se fasse. becky elle avait déjà le monde à ses pieds, becky était grande, était fabuleuse dans ses films mauvais à hurler comme une pauvre donzelle en détresse. allen il était là, un peu envieux, un peu regardant, un peu curieux de la donzelle rachitique qui savait se faire désirer. elle s'est posée à côté de lui, avec la bonne idée de finir au lit en sa bonne compagnie - le contraire s'est pourtant fait, la nuit s'est écoulée alors qu'ils discutaient. allen avait 20 à l'époque, james en était au même point. depuis ça se joue sur le fil, ça se regarde avec attention, ça se serre les mains, dans les bras et dans le coeur comme un besoin excessif de l'autre - l'un comme l'autre se sent compris, l'un comme l'autre se sent légitime à vouloir faire du monde une mascarade. durant un temps crurent-ils même pouvoir former un couple à la stabilité qui ne laisserait passer aucun doute. catastrophe cependant, en résultat ils n'eurent que des disputes, cris, incompréhensions à s'en déchirer la peau - ils sont mieux à se regarder de loin, elles sont mieux à tenter de s'élever chacune de leur côté dans le panthéon des arts les plus sales comme les plus poétiques. jamais l'un sans l'autre - jamais un éclat de rire qui ne saurait rebondir seul contre les murs.